QUESTIONS ECRITES POSEES EN SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL PAR Thierry BLANCHET

 

 

 

 

Conseil Municipal du 11 septembre 2003

Objet : Gens du voyage à Cazaux.

Monsieur le Maire,
Durant cet été, le stade communal  « le Clavier » à Cazaux a été envahi par des gens du voyage. Est-il vrai que vous étiez au courant depuis longtemps de leur arrivée ? Qui a donné l'ordre aux CRS de les acheminer à Cazaux ?

Résumé de la réponse du Maire :
Monsieur le Maire était depuis longtemps au courant de leur arrivée mais pas pour ce jour-là. En effet, lors d'une de leurs visites à la Mairie, ils avaient annoncé qu'ils viendraient fin juin sur la commune de La Teste. Des indices précurseurs lui ont permis de connaître le jour de l'arrivée des « gens du voyage » mais pas leur destination. La Police Municipale a été chargée de patrouiller dans la commune pour les localiser et prévenir le Maire qui pensait qu'ils se dirigeraient vers le stade Bonneval. La Police les a repérés trop tard. Ils avaient déjà pris l'embranchement de Cazaux, escortés par une voiture de CRS. La Police a participé à l'escorte jusqu'à la limite de son territoire de compétence. Quand M. le Maire et M. MONTIER sont arrivés au Clavier, 25 caravanes étaient déjà à l'intérieur du stade et c'est à ce moment qu'ils ont rencontré les Gendarmes qui avaient été prévenus trop tard. « Les gens du Voyage » ont dit au Maire qu'ils avaient été conduits à Cazaux par les CRS. Le Préfet délégué à la sécurité a affirmé à M.le Maire qu'aucun ordre ne leur avait été donné dans ce sens… Il y a eu un dysfonctionnement qui n'a pas servi Cazaux.

Nos commentaires : Si les gens du voyage se sont installés à Cazaux cet été, ce serait à cause d'un dysfonctionnement entre la police et la gendarmerie. Incroyable ! En fait, le Maire n'a pas osé avouer qu'il ne voulait pas les gens du voyage le long de la voie rapide et que sa solution, avec la bénédiction de M. MONTIER, c'était Cazaux. Qu'a dit le CADIC à ce sujet ?  RIEN !

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Conseil Municipal du 17 juillet 2003

Objet : Demande d'extension des compétences de gendarmerie de la BA 120 pour la section de Cazaux.
Monsieur le Maire,
Dans le cadre d'un redécoupage des territoires, affectés à la police ou à la gendarmerie pour la sécurité des biens et des personnes, le Ministère de l'Intérieur envisage la disparition de la brigade de gendarmerie de La Teste. Cette brigade a pour mission de sécuriser le village de Cazaux alors que La Teste est sécurisée par un bureau de police dépendant du Commissariat d'Arcachon. La décision de la disparition de la brigade de la gendarmerie affectée pour Cazaux ne dépend, certes, pas de vous mais, pour autant, vous n'avez rien fait pour manifester contre une telle décision auprès de M. le Préfet. M. MONTIER, votre adjoint, désigné pour s'occuper des Cazalins, se satisfait que Cazaux passe en zone police sans manifester aucune crainte, aucune inquiétude. Je n'ai, ainsi, ni vu ni entendu aucune déclaration publique de la part de M. MONTIER à ce sujet. Pourtant, de nombreux Cazalins s'inquiètent pour leur sécurité à venir. Aujourd'hui, Cazaux voit, plusieurs fois par jour, des gendarmes patrouiller dans leurs rues et arriver très vite à Cazaux dès que l'on a besoin de leur assistance. Demain, avec la police, ils craignent que le service rendu aux habitants de Cazaux ne soit pas du tout identique. Leurs inquiétudes ne portent pas sur les compétences des policiers. Ce sont des fonctionnaires qui font bien leur travail, à qui je me permets de rendre hommage, mais comment bien travailler quand le territoire à surveiller va, à effectif constant, être agrandi. M. le Maire, les Cazalins ont raison de s'inquiéter car leur service public en matière de sûreté va forcément se dégrader. Pourquoi ne défendez-vous pas le maintien de notre gendarmerie pour Cazaux ? Parce que vous réclamez un véritable commissariat à La Teste ce qui implique que l'ensemble de votre commune soit en zone police. Autrement dit, les Cazalins doivent encore payer le prix fort de vos choix et de vos décisions et, en plus, avec la bénédiction de M. MONTIER et de Mme CASTELLO. C'est inadmissible ! Si vous réclamez un commissariat de police à La Teste alors je réclame, pour la sécurité des Cazalins, au nom du Groupe Cazaux-Commune que je représente au sein de ce conseil municipal, une brigade de gendarmerie à Cazaux. En effet, nous avons une brigade de gendarmerie sur la base aérienne de Cazaux qui peut tout à fait avoir, dans ses missions, la sécurité des habitants de Cazaux. Ils sont sur place, ils connaissent le territoire, les habitants ; ils sont déjà affectés, logés, équipés, autrement dit en ordre de marche pour garantir la sûreté de notre village. Au-delà de l'économie d'échelle que pourrez réaliser l'Etat dans cette affaire, je vous demande, Monsieur le Maire, en votre qualité de responsable de la sécurité des habitants de votre commune, d'interpeller Monsieur le Ministre de l'Intérieur et Madame la Ministre de la Défense pour qu'une extension des compétences de la brigade de gendarmerie de la base aérienne de Cazaux soit accordée de sorte que les Cazalins soient en sécurité par le maintien d'un service public de qualité.
Résumé de la réponse du Maire :
C'est une des plus importantes questions qu'il a eu à traiter et tout comme lui, ses prédécesseurs ont essayé d'avoir une couverture policière normale, pour une commune de 24 000 habitants, et pour l'instant, personne n'a réussi. Puis M. le Maire reproche à Thierry BLANCHET de l'accuser, par ignorance, de n'avoir rien fait. Il énumère les actions entreprises : - Sitôt l'élection passée, lettre au Préfet spécifiant le manque d'effectifs déployés sur la commune et l'anomalie de voir le territoire communal couvert par deux forces différentes. - Plusieurs interventions auprès du Sous-Préfet. - Quinze jours auparavant, lors d'une visite du Préfet, demande à nouveau d'un véritable Commissariat à La Teste, ouvert 24h/24 et 7j/7 et demande également des mêmes Gendarmes pour Cazaux. - Ultime intervention encore auprès du Préfet, auprès du Secrétaire Général du Ministère de l'Intérieur en compagnie de Mme le Député, pour faire remarquer que 11 Policiers c'était insuffisant pour une commune de 24 000 habitants. Donc, c'est décidé, c'est la zone « tout police » qui l'a emporté ; il n'y aura plus de Gendarmes, on peut le regretter, tout le monde est au courant jusqu'au Ministre de l'Intérieur, et le Maire n'y peut rien. Si nous avons, en janvier 2004, une zone « tout Police », demande a été adressée à Mme le Député et au Préfet pour qu'il y ait un véritable Commissariat à La Teste et un Commissariat annexe à Cazaux, si possible ouvert la nuit et le week-end. Mais il est à craindre que les effectifs soient insuffisants pour avoir ce commissariat à Cazaux.
Nos commentaires :
Le Maire de La Teste n'a absolument pas répondu à la question posée par Thierry BLANCHET. Concernant la demande formulée dans sa question, le Maire a fait en sorte de ne rien entendre. Pas un mot, pas un signe, aucune allusion. Stupéfiant ! La seule motivation qui l'anime, c'est que Cazaux soit zone police pour obtenir un commissariat à La Teste et éviter que nous ayons comme argument auprès du Préfet le fait que Cazaux soit séparé de La Teste pour la sécurité des habitants. Coup politique, bien sûr, dès lors que nous sommes les seuls, du ressort de la Cour d'appel de Bordeaux, à passer en zone police. Pourquoi les autres élus de Cazaux ne sont-ils pas montés aux créneaux ? Pourquoi le CADIC n'a-t-il encore RIEN dit ?

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Conseil Municipal du 27 mars 2003.
          



1) Objet : Destruction d’un bâtiment communal    à Cazaux. 
Monsieur le Maire,
Monsieur l’Adjoint spécial de Cazaux,
Pourquoi avez-vous détruit un bâtiment communal situé à proximité du lac, en face de l’ancienne gare de Cazaux ?
Vous avez signé le permis de démolir le 13/09/2002.
Ce bâtiment vétuste faute d’entretien, mais pas en ruine, avait une shon de 163 m2, facilement extensible à 200 m2.
Il était situé à 100 mètres environ du rivage.
Il aurait été facile de le réhabiliter et de l’agrandir, et plusieurs clubs et associations en espéraient l’usage.
Or ce bâtiment, une fois détruit, ne peut plus être reconstruit car situé en forêt usagère, site classé et espace remarquable du littoral.
Il s’agit donc d’une perte définitive et il n’apparaît pas qu’une solution de remplacement puisse être envisagée.
De plus, le conseil municipal n’a pas délibéré sur cette destruction. Son avis devait être pris conformément aux dispositions de l’article L 2122-21 du CGCT car cette action relève de la gestion des biens immobiliers de la commune et non des affaires courantes.
 
Réponse du Maire et de l’Adjoint Spécial :
M. le Maire indique que ce bâtiment a été acheté en 1996 par la  Commune  en vue d’un redressement de la voie et le principe de sa démolition a été validé, la même année, au cours d’une délibération du Conseil Municipal. M. Montier rappelle que cette destruction effectuée dans le but d’assurer la sécurité des usagers de cette voie, a été entreprise conformément à l’article L2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales et non le L2241-1 comme le prétend M. Blanchet…Il déclare également que c’est lui en personne, pour des raisons de sécurité (la bâtisse était squattée par des drogués), qui a ordonné la démolition de cette maison. Il ajoute qu’il n’a jamais entendu dire que des Associations en espéraient l’usage. M. Montier signale enfin qu’elle était insalubre car fort humide en raison de sa mauvaise orientation par rapport au soleil.
 
Nos commentaires :

Par manque d’argent, à Cazaux, on préfère démolir les bâtiments plutôt que de les entretenir, surtout quand ils peuvent être utiles dans une zone en site classé. (Souvenons-nous, également, comment ont été détruits l’ancien bâtiment du syndicat d’initiative et ses dépendances !)  Bravo, M. MONTIER pour votre décision. Le CADIC n’a rien fait, rien dit sur cette décision, pas plus que sur la reconstruction du syndicat d’initiative

 

2) Objet : Implantation d’un lotissement « Castéra 2 » au centre de Cazaux
 
Monsieur le Maire,
Monsieur l’Adjoint spécial de Cazaux,
Pourquoi avez-vous autorisé l’implantation d’un lotissement au centre de Cazaux au lieu de réaliser, à cet emplacement, le projet du centre commercial ?
Vous le savez, la population et les commerçants de Cazaux souhaitent un centre commercial en centre ville. Aussi, ai-je été fort surpris de constater que, le 4/12/2002, vous ayez autorisé un lotissement de plus de 2 hectares avec 21 lots en plein centre ville, derrière le château d’eau.
C’était, peut être, la dernière opportunité de réaliser effectivement un centre commercial dans le centre.
Comment peut-on croire, maintenant, que la commune aura les ressources pour réaliser ce projet en secteur déjà bâti?
 
Réponse du Maire :
Thierry BLANCHET connaît mal les procédures en matière d'urbanisme, parce que le dossier de lotissement a été déposé en juin 2002, en application des règles INAb du Plan Local d'Urbanisme. Ce projet respectant les dispositions du PLU, il était impossible de s’opposer à sa réalisation sans s’exposer à de forts contentieux. D’autre part, toutes les sociétés pressenties ont toutes écarté ce lieu d’implantation arguant de son manque de rentabilité. D’où l’intérêt, pour le développement de Cazaux, de vendre certains terrains à l’entrée de la ville. Les commerçants voudraient que cette implantation se fasse au centre ville, mais il serait possible de mener une action foncière favorisant les Cazalins.  Plus on attend et plus cette action sera difficile. Il est dommage qu’au cours de la réunion publique concernant la vente des « 32 hectares », la discussion ait tourné court…
 
Nos commentaires :
C’est le Maire de La Teste qui vient d’autoriser derrière l’église un lotissement à la place d’un supermarché, gâchant ainsi, avec la bénédiction de M. MONTIER, le dernier endroit central où l’on pouvait implanter notre supermarché et notre station service. Par contre à La Teste, on a su implanter un grand centre commercial à deux pas de l’église.  Il est certain que ce genre de situation n’aurait jamais pu se produire si Cazaux avait été doté d’un Maire et d’un Conseil Municipal. En effet,  le Maire aurait très bien pu modifier localement le plan local d’urbanisme ( voir aux Miquelots, à la zone industrielle, au Pyla…). Il a créé, avec M. MONTIER, une situation irréversible dans le centre de notre village. Cette implantation était envisagée avec le groupe Intermarché, représenté par son Directeur Régional, toujours en contact avec Thierry BLANCHET.
Encore une occasion perdue par le CADIC de manifester utilement son existence! Bravo à M. MONTIER et à Mme CASTELLO pour leur passivité
Constat :

M. ACOT–MIRANDE et M. MONTIER sont élus depuis 3 ans et nous n’avons toujours pas de supermarché et de station essence à Cazaux.

 

3) Objet : Vente des 32 hectares de terrain communal à l’entrée de Cazaux, au lieu-dit «Jaumard ».
 
Monsieur le Maire,
Monsieur l’Adjoint spécial de Cazaux,
En séance publique, à Cazaux, le 18 décembre 2002, vous avez exposé le projet de vendre ce terrain communal à un promoteur en vue de réaliser un parc résidentiel de loisirs, des logements sociaux et des équipements sportifs privés.
Avez-vous toujours l’intention de vendre ce terrain à ce promoteur pour réaliser votre projet ?
 
Réponse du Maire :
Je vous ai déjà donné une réponse et chaque fois que vous me reposerez cette question, je répondrai de la même manière. Aucune décision n'est prise à ce sujet, je vous l'ai déjà signalé, je l'ai dit devant les Cazalins et je le répéterai. D'abord, si on prend une décision, on viendra l'expliquer à Cazaux contre vents et marées. D'autre part, aucune décision n'est prise, rien de ce qu'on peut dire n'a jamais été signé dans ce sens.
 
Nos commentaires :
Le Maire veut donc brader nos réserves foncières. Les 32 hectares communaux à l’entrée des villages ont bien failli être transformés en un immense ensemble de mobile home, c’est-à-dire un sous-lotissement entièrement dispensé d’impôts locaux ! Et si le Maire de La Teste a renoncé provisoirement à ce projet, ce n’est sûrement pas par crainte du jugement des électeurs de Cazaux, mais bien parce que l’affaire tournait à la révolte ! Demain, ce Maire, ou son successeur, pourra parfaitement imposer ce projet ! La menace demeure et M. MONTIER a refusé de prendre position ;qu’en a dit le CADIC ? Rien!
 
 

4) Objet : Pompiers à Cazaux / Demande d'extension convention SDIS et BA 120.

Monsieur le Maire,
Au début de votre mandat, je vous ai demandé d'intervenir auprès du service départemental d'incendie et de secours, pour l'implantation d'un centre de première intervention à Cazaux. A cet effet, je vous ai remis un dossier, que j'avais constitué, et dont j'avais, à l'époque, exposé les éléments au groupe majoritaire. Vous ne m'avez jamais informé de vos démarches relatives à ce dossier. Il m'a fallu attendre la séance publique, à Cazaux, du 18 décembre 2002, pour apprendre que le SDIS ne souhaitait pas l'implantation d'un centre de première intervention à Cazaux. Le 3 janvier 2003, par voie de presse, nous apprenons, du chef du groupement sud-ouest du SDIS de la Gironde, que, dans le cadre de la révision du PLU, la Mairie de la Teste a débloqué un terrain sur la zone industrielle pour l'implantation d'un nouveau centre d'intervention. Dans ce cadre, le chef du groupement précise que la notion de commune disparaît au profit d'un secteur d'intervention et qu'ainsi le projet d'une caserne à Cazaux est obsolète. Monsieur le Maire, j'attire votre attention, sur le fait que l'implantation de cette nouvelle caserne, au sein de la zone industrielle, n'est à ce jour qu'un souhait, n'ayant pas encore atteint le stade de projet, rien n'ayant été décidé par le Conseil d'administration du SDIS. D'autre part, si les délais d'intervention étaient ainsi réduits pour une intervention sur Cazaux, ils resteraient toutefois, trop longs, ce qui ne peut être acceptable. Aussi, je vous demande d'intervenir, en votre qualité de responsable de l'organisation des secours et de la sécurité sur la commune, auprès du Directeur du SDIS et du Colonel, commandant la base 120 de Cazaux, afin de demander une extension de la convention entre le SDIS et la BA 120 au secours à victime. En effet, il existe, entre le SDIS et la BA 120, une convention qui permet aux pompiers militaires de la BA 120 d'intervenir dans un délai très court (7 minutes) dans le village de Cazaux. L'extension de la convention consisterait à appliquer le même procédé sur un appel au secours en présence d'une ou plusieurs victimes. L'intérêt d'une telle entente permettrait d'envoyer des secouristes, équipés de matériels pour sauver des vies humaines, dans le village de Cazaux ; l'évacuation vers l'hôpital pourrait être assurée par la caserne de pompiers de La Teste qui viendrait, immédiatement, sur Cazaux, en renfort et en relais des pompiers militaires. J'ai eu l'occasion d'évoquer cette demande d'extension de convention avec l'actuel commandant la base 120 de Cazaux, notamment en présence du Président du CADIC, il m'a alors indiqué qu'il n'y était pas opposé. Aussi, Monsieur le Maire, je souhaite connaître votre position à l'égard de ma demande car, vous comprendrez au demeurant, qu'il n'est pas acceptable que les délais d'intervention pour secours à victimes soient aussi longs pour les habitants de Cazaux.
Résumé de la réponse du Maire :
Le dossier important, que lui a remis Thierry BLANCHET, a été transmis au SDIS qui y a opposé une fin de non recevoir. Le déplacement de la caserne de La Teste en bordure de la zone d'activité est une demande du SDIS, qui estime qu'il est hors de question d'implanter une caserne secondaire à Cazaux (financement) mais souhaite raccourcir les délais d'intervention en s'affranchissant des embarras de circulation au centre de La Teste. Cette solution, qui n'est qu'un projet, n'est pas idéale pour la sécurité des Cazalins, mais a le mérite d'être réalisable. Alors, Monsieur le Maire, qui est soucieux de la sécurité des Cazalins, a examiné cette extension de la convention entre la BA 120 et le SDIS. Il semblerait que le Colonel Commandant la base n'y soit pas opposé, mais il faut aussi que l'autre partenaire (le SDIS) soit d'accord. Monsieur le Maire promet de s'y employer.
Nos commentaires :
A ce jour, le Maire de La Teste n'a rien fait à la suite de la demande de Thierry BLANCHET. Le Maire se moque totalement de notre sécurité. Tout comme M. MONTIER et Mme CASTELLO qui sont incapables d'interpeller le Maire sur la question des délais d'intervention des secours à Cazaux. Le CADIC, lui, se contente de dire, qu'à Cazaux, il règne, actuellement, de la confusion et brouille les cartes (cf: article ci-joint). Comment peut-on être aussi absurde ? Si notre élu, Thierry BLANCHET, pose une question aussi fondamentale, c'est pour défendre les intérêts des Cazalins et non pour brouiller les cartes. Notre sécurité n'intéresse pas La Teste et ce n'est pas le CADIC qui tente de remédier à ce problème puisqu'il est totalement absent sur cette question.