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Le Folklore du CADIC continue : nous avons appris, par le journal Sud-Ouest du 9 mai 2005, que le CADIC a, tout de même, remis une pétition au Sous-Préfet concernant Cazaux-Commune.
Enfin, il était temps pour certains ! A quoi ça sert pour les autres ?
Le CADIC savait que cette pétition était nécessaire depuis le mois de juillet 2004 et c’est, comme par hasard, maintenant, c'est-à-dire 10 mois après, que le CADIC fait savoir qu’il a remis une pétition, au moment même où nous publions une lettre du Sous-Préfet reconnaissant la fiabilité du Groupe Cazaux-Commune et la validité de sa pétition.
Le Groupe Cazaux-Commune a remis sa pétition au Sous-Préfet le 11 février 2005.
Depuis le mois de février, le CADIC savait donc que sa propre pétition était inutile et, de surcroît, ne serait sans doute pas vérifiée puisque arrivant après celle du Groupe Cazaux-Commune (3 mois après) ; dans ce cas, le CADIC a-t-il fait signer seulement, des personnes inscrites sur les listes électorales de Cazaux, comme l'exige la loi ?
Malgré tout, le CADIC a trouvé nécessaire et judicieux de remettre sa pétition au moment où le Sous-Préfet accusait réception de celle portée par Thierry BLANCHET, et informait ce dernier qu’il débloquait la procédure de demande d’indépendance « … afin de faire un point précis sur les procédures susceptibles désormais d’être mises en œuvre, notamment l’enquête publique. ».
Quel intérêt pousse le CADIC à perturber ainsi l’avancement de la procédure ? Cherche-t-il à la faire échouer ou à la ralentir un peu plus ? Chacun devra, désormais, assumer ses responsabilités.
La rancœur et la jalousie d’être dépossédé du dossier Cazaux-Commune seraient-elles le moteur de comportements aussi extrêmes (voir recto du présent document) et nuisibles au projet d’indépendance de Cazaux ?
Cazalins, il faut bannir définitivement de tels comportements !