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CAZAOUS   INFO   N°12

Intervention de M. MONTIER, au Conseil municipal du 9 mars 2004, au sujet des problèmes d'assainissement.
Monsieur le Maire, mes chers collègues, pour rester dans un même registre, je vais parler un petit peu de l'entretien des crastes et fossés à Cazaux.
Lors des récentes pluies abondantes, il s'est avéré que le non-entretien des crastes et fossés sur Cazaux avait eu pour résultat l'inondation des chaussées, dans notre localité, fort spectaculaire, mais néanmoins très pénalisant pour les riverains.
A la décharge de la commune, il s'avère que bon nombre de particuliers n'entretiennent plus les crastes qui traversent leurs propriétés, créant ainsi des accumulations d'eau en grande quantité qui ne peuvent s'évacuer, certaines crastes ont totalement disparu. Tout le monde savait jadis que le système de régulation et d'évacuation des eaux de surface des pourtours du Bassin d'Arcachon était basé sur le principe d'un quadrillage du terrain par des crastes et fossés.
Ce savoir n'a pu se transmettre car la mémoire active a quasiment disparu. Il n'y a pratiquement plus de véritables autochtones. Les nouveaux arrivants proviennent des différentes régions de France et ne possèdent que les coutumes et les traditions de la région ou du terroir qu'ils viennent de quitter. Il serait sans doute opportun d'informer ces nouveaux administrés sur leurs devoirs de citoyens lorsque des dispositifs d'évacuation d'eau sont mitoyens ou traversent leurs propriétés, peut-être à l'occasion de la demande de permis de construire.
Pendant cette période pluvieuse, la municipalité a paré au plus pressé en procédant au curage des fossés les plus importants, à savoir ceux situés le long de la rue du Commandant Marzac.
En effet, ces fossés reçoivent les eaux de surface d'une partie non négligeable du bourg de Cazaux et se rejettent dans 2 exutoires qui traversent la base aérienne 120. Il faut savoir qu'à Cazaux, fossés et crastes n'ont pas été sérieusement entretenus depuis plus de 20 ans ! Il n'y a eu que du bricolage !
Une réunion s'est tenue la semaine dernière avec les élus en charge des travaux et de l'environnement, les services techniques de la ville en liaison avec les autochtones spécialistes des crastes. De la salle de réunion, nous sommes passés sur le terrain afin d'apprécier les travaux qui devront être réalisés. Les résolutions prises lors de cette réunion déboucheront sur la mise en œuvre d'un chantier de requalibrage des fossés qui définiront soit l'écoulement des eaux vers la Base, soit vers la craste de Cent Francs. Un fossé sera créé rue Jean Dassié afin de « shunter » des fossés busés et inopérants dans les propriétés privées.
Tous les travaux débuteront au printemps 2004 et l'hiver prochain, les Cazalins ne devraient plus connaître les désagréments liés à des pluies persistantes.
La côte théorique du niveau du lac est de 20,94 mètres. En février, elle a atteint la côte de 21,05 mètres. Passée cette côte, le niveau du lac a alors des conséquences sur certaines parcelles bâties et d'autres part les problèmes d'écoulement des eaux de voirie.
Les dernières pluies abondantes ont fait monter le niveau du lac jusqu'à la côte 21,08. Afin de réguler ce niveau, il existe 2 exutoires : le canal des Landes considéré comme l'exutoire secondaire et l'écluse de Navarosse qui est le principal régulateur du niveau du lac. Avant que les pluies ne s'intensifient, l'écluse n° 8 sur le canal des Landes a été ouverte ainsi que celle de Biscarosse. L'anticipation a joué.
Malheureusement, le volume des précipitations a eu raison de la hauteur d'eau anormale du lac et dans ce cas-là, les écluses n'ont pu faire face à la stabilisation rapide de la côte de référence du niveau du lac. Nous ne sommes pas maîtres des aléas météorologiques et les prévisions à 5 jours sont peu fiables.
Quel est alors le domaine de l'anticipation ? Il faut intégrer dès maintenant que le climat de la Terre change et s'achemine vers des grosses chaleurs, mais aussi vers des précipitations qui seront de plus en plus intenses. Alors pourquoi ne pas changer cette côte de référence du niveau du lac et la ramener à 20,70 mètres ? Certaines instances opteraient pour cette solution, il faudra en reparler.
Je ne voudrais pas terminer mon propos, Monsieur le Maire, sans vous demander de bien vouloir intervenir auprès du SIBA afin de mettre en place le Schéma d'Aménagement de Gestion des eaux pluviales de Cazaux, le SAGE. Sachez que les inondations de chaussées envahissent le réseau des eaux usées, la conséquence fâcheuse est la saturation de ce réseau, les pompes de relevage situées rue Guynemer sont adaptées pour un fonctionnement normal du système, mais non pas pour le rajout d'un flux important d'eaux pluviales. J'en ai pour preuve en saison sèche où le réseau du tout-à-l'égout fonctionne normalement et admirablement bien. Dès que ce problème de résorption d'eaux pluviales aura été réglé, tout devrait rentrer dans l'ordre.

M. MONTIER : brave soldat et brave mercenaire !

On peut admirer ici comment notre adjoint spécial, Claude Montier (UMP), défend fidèlement son tuteur, le  Maire (PS) de La Teste… brave soldat  !
On  bouche les crastes… c'est la faute des particuliers, certes ! mais qui n'assume pas son rôle de contrôle et de remise en état ?… la mairie de La Teste ! Claude Montier se garde bien de le dire… Notre adjoint spécial de Cazaux critique les Cazalins mais jamais le Maire de La Teste… brave soldat !
Claude Montier critique aussi les nouveaux Cazalins à qui il faut rappeler leurs obligations quand on leur délivre un permis de construire… mais il oublie de dire que c'est la mairie de La Teste qui délivre ces autorisations !  et qu'elle devrait  faire respecter ces servitudes, mais chut ! ne critiquons pas La Teste… brave soldat !
Le plus drôle c'est qu'il  accuse aussi le lac d'être trop haut ! et mal régulé par la Base… et puis le climat est pluvieux… bref c'est la faute du ciel puis du SSBA mais surtout pas du Maire de La Teste qui autorise des constructions sans assainissements suffisants… brave soldat !
Claude Montier a décidément choisi entre sa parole donnée aux Cazalins et celui qui le paye… Brave mercenaire !
Cazalins, rappelez-vous, ce sont le CADIC et Cazaux Cap Avenir qui ont choisi Claude MONTIER pour défendre nos intérêts. Rions !


SEPTEMBRE 2004, NUMÉRO 12

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QUESTION EN SEANCE du Conseil Municipal du 9 mars 2004, posée par Thierry BLANCHET, Conseiller municipal, élu de Cazaux.

Objet: Réseaux d'évacuation des eaux pluviales de Cazaux - Assainissement
Monsieur le Maire,
Les intempéries, de ces derniers jours de Janvier 2004, ont montré des insuffisances notoires sur:

  • d'une part, les réseaux d'évacuation des eaux pluviales. Ainsi de nombreux quartiers   de   Cazaux   furent   inondés,   rendant   I'accès   aux   habitationscontraignant et difficile;
  • d'autre part; les égouts. En particulier le collecteur principal des rues Edmond Dore et Guynemer, occasionnant des situations pénibles inhérentes au nonfonctionnement des sanitaires. De plus, les écoulements nauséabonds des bouches d'égout sur les trottoirs, dans les jardins, dans les rues, donc dans le canal, ne sont pas de nature a faciliter le cadre de vie, indépendamment des problèmes de salubrité publique.
Etant donné qu'une situation identique s'était présentée en mars 2001, comment se fait-il qu'aucune action corrective efficace n'ait été menée a son terme :

  • Sur l'adaptation du réseau de crastes et de leur entretien ?
  • Sur t'efficacité du réseau d'évacuation des eaux pluviales des nouveaux lotissements « Les Platanes de Castera » et« Les Pins de Cazaux II »?
  • Sur   les   points   de   pénétration   des   eaux   pluviales   dans   le   réseau d'assainissement neutralisant le fonctionnement de ce dernier ?
Les quelques réalisations effectuées après une période critique : adjonction de pompes pour augmenter le débit de refoulement de I'égout, creusement du « Grand Canal » pour les « Clefs de Cazaux » et d'un autre « Canal » pour « Les Pins de Cazaux II » montrent I'inadaptation des solutions aux problèmes.

Monsieur le Maire, conscient des responsabilités qui vous incombent, je vous demande : « êtes -vous décidé à exiger» :
1/ Que les promoteurs des lotissements de Cazaux réalisent des réseaux eaux pluviales et assainissement conformes aux normes en vigueur ?

2/ Que  le SIBA  entreprenne  une  remise  en  conformité  du  réseau d'assainissement de Cazaux ?
3/ Qu'une étude soit lancée sur le réseau des crastes de Cazaux et que les travaux afférents soient entrepris au plus vite ?

Les Cazalins attendent avec impatience que soient pris en compte ces légitimes besoins trop longtemps négligés.
M. BLANCHET : J'ai eu ce soir quelques réponses de la part de Monsieur MONTIER, j'ai bien compris que le problème était pris à bras le corps, nous sommes quand même en 2004. Quand nous nous sommes faits élire avec Monsieur MONTIER et Madame CASTELLO, ce problème déjà se posait pour les Cazalins et je pense qu'il y a urgence en la matière.
M. le Maire : C'est vrai, il y a urgence en la matière. A propos de ce que vous avez dit concernant les promoteurs, nous sommes décidés à faire respecter les zones d'assainissement.
Vous avez eu une réponse avec Monsieur MONTIER et Monsieur CAILLEAU. Vous aurez en tant-que représentant et élu de Cazaux, il y aura un représentant à la Commission que va monter Monsieur CAILLEAU pour s'occuper, je dirais non seulement des crastes de Cazaux mais de toute la commune. La craste de Nézer n'est pas un exutoire significatif, vous le savez, pour le drainage du bourg de Cazaux. On l'a expliqué tout à l'heure, vous avez eu les réponses et elles n'ont peut-être pas été suffisantes, mais il faut maintenant travailler et je pense que ce sera mis en place. Par contre, ce qui a été dit, c'est qu'à un moment, on nous a reproché de ne pas avoir continué les travaux sur la craste de Nézer, mais je dirais que contrôle fait, ce n'est pas un exutoire, vous le savez on nous a reproché d'avoir arrêté les travaux l'année dernière, vous même vous y faites allusion, parce qu'on avait arrêté au niveau d'une zone où il y avait des bruyères. On a fait des travaux, on a fait des recherches et conformément à la loi sur l'eau de 1992, on nous a dit de faire plutôt des exutoires en amont de cette zone-là. Les modalités d'entretien vont donc être adaptées à cet objectif. En conclusion, je dirais que - et tout à l'heure Monsieur MONTIER et Monsieur CAILLEAU l'ont dit - les incidents que vous évoquez sur la zone urbanisée de Cazaux sont la gestion et cela, il faudra y veiller aussi et vous le savez, la gestion du niveau du lac. Parce qu'actuellement, il y a une gestion qui n'anticipe pas les périodes pluvieuses....

M. BLANCHET : on a eu l'occasion de vous en parler, M. le Maire...

M. le Maire : il y a aussi quelques personnes de Cazaux qui, pour défendre certaines associations, nous empêchent.... vous me direz il suffit de passer outre... et on le fera. La suppression et l'absence d'entretien des fossés ont eu un rôle majeur dans le drainage superficiel de certains quartiers de Cazaux et tout à l'heure, Monsieur MONTIER et Monsieur CAILLEAU l'ont dit, des actions immédiates vont être entreprises sur les voies publiques, des mises en demeure vis-à-vis de propriétaires privés parce qu'il y en a qui ne font pas leur travail, et une étude hydraulique qui va être réalisée pour la réhabilitation des exutoires artificiels qui sont pour vous, la craste Nézer, le Canal des Landes et le Canalot.
M. BLANCHET : Monsieur le Maire, excusez-moi, je voudrais juste attirer votre attention sur un point quand même essentiel qui a été abordé, à un moment donné, par Monsieur CAILLEAU. Nous avons aujourd'hui un schéma directeur des eaux pluviales qui existe pour l'ensemble des 10 communes. J'ai envoyé quelqu'un dans vos services, il n'y a rien concernant Cazaux. J'attire votre attention, c'est quand même sidérant. Il n'y a rien concernant Cazaux et ça n'est pas normal. !
M. CAILLEAU : Il y a un schéma directeur d'assainissement des eaux pluviales sur La Teste le centre-Bourg de La Teste, mais sur Cazaux, il n'y a pas eu opportunité de créer un tel schéma d'aménagement des eaux pluviales.

M. BLANCHET : J'enregistre !
M. CAILLEAU : Tu peux enregistrer.
M. BLANCHET : Donc, il faut attendre une opportunité !
M. CAILLEAU : Il n'y a pas nature...
M. Le Maire : Si vous avez des questions on vous répond, mais il n'y a pas de polémiques.

M. CAILLEAU : On a identifié plusieurs types de problèmes, il y aura une étude hydraulique qui sera faite en complément, mais qui ne sera pas de même nature que ce schéma d'assainissement des eaux pluviales. Et ensuite, quand tu dis qu'en 2001 il y a déjà eu des inondations et que tu te retrouves encore avec des inondations, c'est très simple, à chaque fois que l'on n'anticipe pas l'arrivée des pluies pour baisser la hauteur de l'eau du Lac de Cazaux, on se retrouve avec le même problème. On peut faire quelque chose mais tant que l'anticipation n'est pas faite et que les personnes voient que l'eau monte et que d'eux-mêmes ne rectifient pas la hauteur du Lac, c'est perdu d'avance. Il faut savoir que quand il pleut, pour 1 centimètre d'eau sur l'ensemble des 56 km2 du Lac de Cazaux, il faut plus de 15 heures avec toutes les écluses ouvertes à fond -- ceci provoquerait des inondations en amont et en aval du Lac -- il faut près de 15 heures pour vider ce centimètre de pluie. Donc, quand on laisse tomber de l'eau pendant 8 jours et que le SSBA ne rectifie pas le tir, après, il faut des journées et des journées pour vider le Lac. Et ça, c'est le principal problème.
M. le Maire : II n'y a plus qu'une écluse qui est gérée pas le SSBA et qui est donc sur le terrain militaire et qui fonctionne. Cela fait 3 ans quand on a été élu, que j'ai attiré l'attention du Sous-Préfet sur ce problème grave du Canal des Landes, parce qu'il y a Cazaux, mais il y a aussi La Teste, il y a l'amont et l'aval. Et si un jour les écluses cassent et si on laisse passer trop d'eau, on va inonder non seulement les quartiers de la Hume, mais les quartiers de La Teste aussi. Il doit y avoir une réunion dans quelques jours, j'ai fait mon travail, on a fait deux réunions, il n'y a pas eu de suite. Mais j'attends toujours parce que c'est vrai que le SIBA m'avait alerté sur ce problème crucial du Canal des Landes, mais on vous tiendra au courant. Votre deuxième question.


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LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS
SITE INTERNET DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE : ALIENOR.NET/BLANCHET

Les principaux points noirs de Cazaux, vus et étudiés par le Groupe Cazaux-Commune.

1- PLATANES DE CASTERA
Allée des Granges, allée des Platanes de Castéra.
Description : Les eaux pluviales ne s'évacuent pas et stagnent dans les jardins de ce lotissement neuf réalisé par un promoteur avec un permis de construire donné par le Maire de La Teste.
Explications :  Ce secteur se situe sur une zone de niveau bas qui collecte toutes les eaux pluviales du secteur, et le bassin de rétention est insuffisant car rempli par la nappe phréatique.
Actions : Il faut relier ce secteur à un système d'évacuation des eaux pluviales (tuyaux et regards) qui canalise l'eau pour la diriger vers le canal.

4- RUES EDMOND DORE, GUYNEMER,
JEAN DAGROS ET CITE DES ECUREUILS
Description : 
Impossibilité, lors de fortes pluies, d'utiliser l'eau pour faire la vaisselle, laver le linge, faire la toilette, ou se servir des sanitaires. On constate également des remontées, dans les jardins, d'excréments et de matières associées.
Explications : Ce secteur se situe sur le point le plus bas de Cazaux, à la fois, pour les eaux pluviales et les égouts. Lors d'inondations sur Cazaux, cette eau pluviale rentre dans le réseau d'évacuation des égouts et fait déborder ces égouts sur ce point le plus bas dont les pompes de relevage, du fait de la surcharge, s'arrêtent ; l'eau refoule alors dans les jardins et vient accroître les problèmes d'évacuation des eaux pluviales. Du fait de l'urbanisation galopante, ces derniers temps, l'actuel collecteur des égouts est probablement saturé, car n'ayant pas  été changé : toute entrée d'eau parasite entraîne des débordements.
Actions :  En résolvant le problème des eaux pluviales, on réglera le problème d'évacuation des eaux usées.

2- RUE DU COMMANDANT MARZAC
entre rue Verdun à l'entrée de la BA & rue Frères Dupuy
Description :  Lors de pluies importantes, la chaussée est totalement sous l'eau.
Explications :  Du fait de la proximité de l'entrée de la base BA 120, cette rue subit un trafic important, avec notamment de gros poids lourds, alors qu'elle ne possède ni trottoirs ni fossés pour évacuer les eaux pluviales.
Actions :  Il faut refaire la rue avec des trottoirs pour que, sur toute la rue du Commandant Marzac, les eaux pluviales soient récupérées dans un collecteur général de gros diamètre et dirigées vers le canal.

5- AVENUE DU CLAVIER
Description : 
Lors de pluies importantes, la chaussée est totalement inondée.
Explications :  Le réseau d'eaux pluviales ne remplit pas ses fonctions sur ce secteur.
Actions :  Il faut raccorder ce secteur au réseau de l'avenue Sanchez qui doit être prolongé vers la craste de la rue Cent Francs.

3- LES CLEFS DE CAZAUX, LES PINS DE CAZAUX
rue Castandet, allée de la Clairière, rue Bonis.
Description :  Lors de fortes pluies, la chaussée est totalement inondée de part et d'autre des rues Castandet et de la Clairière : les trottoirs y sont submergés empêchant les gens de sortir de chez eux. Rue Bonis, l'eau stagne à l'entrée des regards, sur 20 mètres vers la rue Castandet.
Explications : Dans ce secteur, le fossé improvisé réalisé pour évacuer les eaux pluviales vers le canal est inefficace alors que ce secteur se situe au-dessus du niveau du canal ; ce fossé est-il réellement fonctionnel ? Les points inondés sont-ils correctement reliés ?
Actions :  Il faut recalibrer et curer le fossé en s'assurant que les points inondés y sont réellement reliés ; l'ensemble doit être busé pour la sécurité et la salubrité.

6- RUE EDMOND DAUGEY
Description : 
On constate, lors de fortes pluies, la saturation complète des fossés jusqu'à la chaussée de la rue Edmond Daugey.
Explications :  Autrefois, il existait une évacuation de la craste nord-sud en direction de l'entrée de la base BA 120. Cette  craste a été bouchée, depuis longtemps, par des constructions diverses.
Actions :  Il faut évacuer vers la craste de l'allée Dufaure qui devrait déboucher dans la craste de la rue Cent Francs, ceci réalisant un encadrement du village de Cazaux par un grand collecteur.

EN CONCLUSION : Le groupe Cazaux-Commune met en évidence la nécessité de réaliser des travaux importants et qui sont forcément onéreux pour la Mairie de La Teste. Cette dernière a l'obligation de réaliser ces travaux d'assainissement car elle a encaissé nos Taxes Locales d'Equipement (TLE) que chacun de nous a payées pour la réalisation des ces travaux. Où est passé cet argent, M. le Maire ? Il est plus facile de dire que le SSBA assure une mauvaise gestion du niveau du lac et du canal ou de rejeter la faute sur les Cazalins qui n'entretiennent pas les fossés. Nous exigeons des explications car nous avons tous payé ! Pourquoi le CADIC n'a-t-il jamais interpellé le Maire à ce sujet ? Il est grand temps d'agir ! Le groupe Cazaux-Commune va agir !

L'AFFAIRE DU GIRATOIRE : Les lotissements « les pins de Cazaux » et « les clefs de Cazaux » se retrouvent en situation d'impasse. Ils doivent bénéficier d'un deuxième accès prévu à l'entrée de Cazaux, sous la forme d'un giratoire sur la départementale. Pour cela, chaque propriétaire a payé la taxe locale d'équipement d'environ 3 000 €. Par conséquent, le rond point a été largement payé. Cela veut dire que le Maire doit réaliser ce rond-point et pour ce faire n'a pas besoin d'une grande surface pour le financer et le justifier. D'autre part, il n'a pas besoin, non plus, de prendre en otage les artisans de Cazaux pour réaliser une zone artisanale à l'entrée de Cazaux. Il existe, pour cela, des zones de bruit non construites près de la Base.


ATTITUDE DU CADIC CONCERNANT L'ARRIVEE D'UN CENTRE LECLERC
A L'ENTREE DE CAZAUX ET LA VENTE DU CENTRAL (suite).

VENTE DU CENTRAL
Pétition « bidon »
Manœuvre de diversion de la part du CADIC avec le Maire de La Teste

Thierry BLANCHET a demandé au Président du CADIC de lui transmettre la preuve matérielle et irréfutable qui avait entraîné l'organisation de la pétition concernant la vente du Central, ancien bar-restaurant en face de l'église, acheté par la municipalité précédente.
A ce jour, nous sommes obligés de constater que le Président du CADIC ne nous a fourni
aucune preuve matérielle et irréfutable concernant ce projet de vente.
Aujourd'hui, nous ne pouvons, que conclure que la pétition réalisée par le CADIC n'était basée que
sur des « on-dit ».
Tout ceci ressemble fort à une manœuvre de diversion organisée par la Maire de La Teste, faisant suite à la lettre «Disons la vérité» diffusée par Thierry BLANCHET la semaine précédant cette pétition et faisant état des liens de proximité entre le Parti Socialiste de La Teste, René SERRANO et le CADIC.
Cette manœuvre, autour de la pétition pour le Central, a consisté à faire oublier cette proximité, confirmée par l'attitude du CADIC concernant l'arrivée d'un centre Leclerc à Cazaux.
De plus, quand on réalise l'agitation qui s'est faite autour de ce projet de vente du Central alors que,
au même moment, l'arrivée d'un Centre Leclerc à l'entrée de Cazaux était organisée par la Mairie de La Teste et ne suscitait que silence de la part du CADIC, on ne peut que dénoncer, une fois de plus, la collusion entre le CADIC et le parti socialiste de La Teste.
Le CADIC abuse de votre confiance et, pire, vous rend peu crédible à travers la signature d'une pétition « bidon », qui n'était qu'un
« leurre », une opération pour détourner votre attention et éviter d'aborder la question fondamentale : pour qui « roule » le CADIC d'aujourd'hui ?

QUESTIONS ET SUGGESTION
de la part de Thierry BLANCHET.
Chers Cazalins, à ceux qui ont encore envie de me dire que tout ceci ressemble à des problèmes de personnes, au moment où il faut s'unir pour être plus forts, je me permets de poser trois questions :
1/ Avez-vous envie de faire confiance à des personnes qui organisent des pétitions sans preuve, sur des bruits de couloir, sur des déclarations sans écrit, sans dossier... ?
2/ Comment peut-on accorder de la crédibilité à des personnes qui font signer une pétition ayant pour unique motif et base de réflexion : « J'ai entendu dire que ... » ?
3/ Pensez-vous, sérieusement, que ces personnes puissent, un jour, gérer notre avenir ?
Soyons assez responsables pour éviter d'être dirigés par des irresponsables.
Cela dépend de vous Cazalins
et seulement de vous !

 


LES INFOS DU MOIS

UN ANNIVERSAIRE REVELATEUR
Notre Conseiller Général, René SERRANO, n'a toujours pas répondu à la question posée le 4 août 2003 : « êtes-vous pour Cazaux-Commune ? ».
ll y a gros à parier qu'il ne répondra pas…
Pourtant, depuis qu'il habite Cazaux, il a eu tout le loisir de se rendre compte, par lui-même, de l'état pitoyable de son lieu de résidence, comparé à celui des communes alentour, notamment La Teste.
Bien sûr, on sait tous que, par le passé, M. SERRANO a toujours combattu ce projet, et que c'est en grande partie à cause de lui qu'actuellement Cazaux est encore sous la tutelle de La Teste.
On pourrait penser qu'il a évolué et changé d'avis, car en homme politique averti, il ne doit plus désormais supporter de voir se perpétuer, à Cazaux, une injustice historique monumentale assortie d'un vide démocratique flagrant. Mais alors pourquoi s'entête-t- il à ne pas le dire aux Cazalins ?
Il est vrai que dans ce cas, il lui faudrait déplaire au Parti Socialiste de La Teste, au risque de s'en faire exclure ! Donc, il n'ose pas dire qu'il est « pour ».
Il
n'ose pas non plus dire qu'il est « contre », car ce serait compromettre ses chances de s'emparer de la mairie de Cazaux en 2008, si le parti socialiste et les forces qui lui sont associées arrivaient à repousser l'échéance de l'indépendance, au mépris des intérêts de la population cazaline.
Donc il ne répondra pas, car il est infiniment plus confortable, pour lui, de suivre les directives d'un parti politique plutôt que de prendre la défense d'une ville de 5000 habitants, considérée comme un quartier, et qui ne peut même pas sanctionner, par son vote, un maire en situation de faire impunément ce qu'il veut à son égard.
Certains Cazalins, dont le CADIC, croient que René Serrano est l'homme politique providentiel dont Cazaux a besoin : « rendez-vous compte, c'est un conseiller général ! ».
Résumons-nous : M. SERRANO est un homme politique envoyé par le parti socialiste de La Teste, ayant tout fait pour que Cazaux reste dépendant de La Teste et qui, au moment d'une nouvelle demande de séparation, n'a pas le courage de se positionner pour des raisons purement politiciennes. Cazalins, pensez-vous sérieusement, qu'on puisse lui faire confiance pour gérer un jour notre avenir ?

EVITONS DE DIRE N'IMPORTE QUOI ?
Certains d'entre vous réagissent sur le projet du Groupe Cazaux-Commune concernant l'implantation d'une surface commerciale au centre de Cazaux. Tant mieux ! C'est le débat démocratique. Toutefois, il faut éviter de dire n'importe quoi :
1/ concernant la surface de vente
Il faut savoir que l'Ecomarché de Sanguinet a une surface de vente de 900 m2 et il suffit de 1200 m2 pour avoir un Intermarché. Notre projet propose une surface pouvant aller de  600 à 1 800 m2.
2/ concernant une surface de vente sur deux niveaux
Il y a des milliers de commerces dont la surface de vente se répartit sur plusieurs étages. Voir le Monoprix d'Arcachon par exemple !
3/ concernant les places de parking
Il n'y a pas assez de places, dit-on ! Faux. Le calcul des places de parking est donné par le POS (Plan d'Occupation des Sols). Que dit le POS actuel, à Cazaux ? 1 place de parking pour 25 m2 de surface de vente. Par conséquent, pour un magasin de 1 200 m2, il faut 48 places. Il existe, à ce jour, au centre de Cazaux, 84 places de parking, sans compter 36 places supplémentaires contenues dans le projet. Par conséquent, il est prévu 120 places de parking à moins de 150 mètres de l'entrée du magasin situé au cœur de la ville.
4/ concernant son implantation en centre ville
Pourquoi pas dans les 32 hectares à 2 km du centre disent certains… ? Maintenant, on met les magasins en dehors de la ville, cela se fait partout, pourquoi faire autrement à Cazaux ? Parce que nous pensons que ces grandes surfaces que l'on voit souvent enlaidir la périphérie des villes sont la preuve de l'incurie et de l'incompétence des maires qui n'ont pas su leur faire une place auprès de la population, c'est-à-dire à l'endroit où vivent les gens, par conséquent, l'endroit que l'on doit animer. Parce que le centre de notre ville n'étant pas encore très dense, il est encore possible, nous l'avons démontré, de réaliser une surface commerciale de proximité. Parce qu'on ne doit pas tuer nos commerçants, bien au contraire, on doit leur apporter un effet d'entraînement économique profitable à tous par l'arrivée de cette surface commerciale en centre ville. C'est tellement évident !
Notre projet est un projet sérieux et réalisable, pour lequel nous avons même étudié des variantes, et n'importe quel Maire, en France, pourrait le réaliser s'il le voulait !

 

Un autre bilan pour Mme CASTELLO ! Dans le journal Sud-Ouest du 8/09/2004, nous pouvions découvrir Mme CASTELLO, toute souriante, assise à la place de M. MONTIER à la Mairie de Cazaux, précisant, à propos de l'activité du Camping Cap de Mount, que son bilan est très positif, encourageant pour l'avenir ! Bravo ! Toutefois, le Groupe Cazaux-Commune voudrait vous faire part d'un autre bilan concernant Mme CASTELLO. Notre conseillère municipale a été présente, durant l'année 2003 et sur le premier semestre 2004, à 6 conseils municipaux sur 13. La plupart du temps, elle s'est faite représenter par un conseiller municipal de La Teste, notamment Mme COINEAU, M. ANDRE ou, pour le vote du budget, par Mme FILLON en personne, qui a élaboré un budget de misère pour Cazaux. C'est donc là un autre bilan beaucoup moins positif pour Sylvie CASTELLO, bien peu encourageant pour l'avenir de Cazaux. Cazalins, rappelez-vous, ce sont le CADIC et Cazaux Cap Avenir qui ont choisi Sylvie CASTELLO pour défendre nos intérêts. Rions !

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