PAGE 2

CAZAOUS   INFO   N°14

BUDGET PRIMITIF 2004 : Les dépenses d'équipements prévues par le Maire de la Teste. Budget voté par Mme CASTELLO (comme d'habitude)  / Abstention de M. MONTIER (toujours aussi courageux) / Votent contre M. BLANCHET et M. ALCARAZ (Pas pour les mêmes raisons).

Concernant les aménagements urbains : Nous pouvons constater qu'à travers les dépenses identifiées, il y a seulement une ligne concernant Cazaux, au chapitre voirie communale. Cela concerne la rue Jean Lavigne. On peut lire la somme de 27 000 €, montant totalement dérisoire pour refaire cette rue. Qui plus est, ces 27 000 € doivent être partagés avec La Teste pour refaire aussi la rue du Captalat. SCANDALEUX ! Vous remarquerez que rien n'est identifié pour Cazaux concernant l'assainissement. Comment M. MONTIER va-t-il financer son plan d'assainissement pour Cazaux ? « Tous les travaux débuteront au printemps 2004 », avait-il dit en Conseil municipal du 9 mars 2004. Il n'a aucune ligne budgétaire pour le faire et il n'a même pas voté contre le budget proposé par le Maire de La Teste. Pitoyable!

Concernant les autres fonctions : Nous pouvons constater que 92 000 € sont prévus pour la Maison pour Tous. Grand projet du Maire et de M. MONTIER pour éviter de faire Cazaux-Commune. Or à ce jour, aucun début de travaux n'est observé, et ce montant ne correspond pas à celui annoncé en Conseil municipal. Concernant la ligne pour nos écoles: le montant mis en avant va être intégralement payé par la COBAS. Nous sommes bien dans une logique d'effet d'annonce. Enfin, concernant la salle des fêtes de Cazaux, nous constatons la présence d'une ligne budgétaire pour réaliser des aménagements. Avec 23 000 € programmés, on fera quelques aménagements mais sûrement pas tous ceux qui s'imposent à une salle destinée à une population de 5 000 habitants.
Au total, le Maire a inscrit, au budget 2004, pour Cazaux, la ridicule somme de 128 000 € pour réaliser de nouveaux équipements. Si on rajoute 10% du montant des rubriques « autres », nous arrivons à une somme de 175 000 € : c'est ridicule par rapport à la moyenne départementale (1 102 571 €) et nationale (1 109 726 €).
Voilà pourquoi Thierry BLANCHET a voté CONTRE le budget proposé par le Maire de La Teste.

 


PAGE 3

NOVEMBRE 2004, NUMÉRO

Tableau de synthèse sur l'évolution des subventions aux associations de Cazaux.

Regardons maintenant les subventions de fonctionnement qui sont proposées aux associations de Cazaux. En 2001, le montant des subventions allouées par M. ESPIED et M. ALCARAZ était de 17 912 € ; en 2002, ce même montant alloué par M. ACOT-MIRANDE et M. MONTIER était de 17 973 €. En 2003, ce montant est de 26 754 €. L'enveloppe a été gonflée de 8 842 € pour les associations Cazalines (*) qui ont signé une convention de partenariat avec la commune. Ceci n'est pas une augmentation mais un simple jeu d'écritures comptables. En fait, cela correspond à des dépenses qui étaient déjà payées par la Commune directement aux prestataires des associations. En 2004, l'enveloppe baisse légèrement à 26 335 €. La moyenne départementale, des subventions versées aux associations d'une ville correspondant au nombre d'habitants de Cazaux, est de 187 429 € et de 203 311 € au niveau national (Voir tableau ci-dessous).

Voilà ce qu'on aurait si Cazaux était une Commune.   SANS COMMENTAIRES !


PAGE 4

LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS
SITE INTERNET DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE : ALIENOR.NET/BLANCHET

Quoi de neuf au CADIC ?
Au programme : Saga d'une compromission flagrante avec résignation à la clé.

1/ Journal Sud-Ouest du 30 juin 2004.

Déclaration du Maire de La Teste au sujet de l'aménagement des 31 hectares de Jaumard (emplacement  de l'implantation du Centre Leclerc). « Pour l'heure, tout est arrêté. Le CADIC connaît nos intentions puisque nous avons eu trois réunions avec l'association à ce sujet. La majorité des Cazalins veulent une station service et une moyenne surface. Cela fait d'ailleurs partie des engagements des quatre élus cazalins … La station et le commerce pourraient être réalisés sur les 6 ha constructibles sur les 31 ha communaux. Il pourrait s'y ajouter une petite zone artisanale. Tout le reste ne sera pas touché » assure Jean-François ACOT-MIRANDE. Il ajoute : « Non, il n'y a rien de secret dans nos actions ».

5/ La dépêche du Bassin du 14 / 20 octobre 2004.

Le CADIC et le Leclerc : oui, mais … ( Extraits)
« L'association est satisfaite que les vœux des Cazalins soient bientôt exaucés. »
« L'endroit retenu est à l'extérieur du bourg. Ce qui en l'état actuel est la seule solution viable, selon le CADIC. »
« Certains disent qu'il faudra prendre la voiture, mais pour la majorité des Cazalins, il faut déjà prendre la voiture. »
« Ce serait grave si on se rendait compte qu'on a démoli le tissu commercial du village pour rien… »
« A propos des commerçants du bourg, justement, Jean-Marie Blanchet (Président du CADIC), n'est pas inquiet. »

COMPLAISANT ET PITOYABLE CADIC !

TROIS réunions se sont tenues entre le CADIC et le Maire de La Teste au sujet de l'implantation d'un centre Leclerc à Cazaux. Réunions confirmées dans la presse par le Maire de La Teste qui demande au CADIC de prendre position et sous-entend que c'était prévu ainsi : « j'attends votre prise de position ». Autrement dit, dépêchez-vous le CADIC, ne me lâchez pas, j'ai besoin de vous, c'était entendu entre nous ! » Jean-Marie Blanchet et François Boyer ont bien reconnu, dans la presse, qu'ils connaissaient l'existence d'un projet d'un centre Leclerc alors pourquoi, maintenant, ne veulent-ils l'admettre? Pourquoi le CADIC affirme-t-il qu'il n'y a pas eu de concertation alors qu'ils ont vu à plusieurs reprises le Maire à ce sujet. C'est le Maire qui le dit !
Le CADIC affirme qu'il n'a eu aucun document ou aucun élément lui permettant de se faire une opinion au sujet de cette implantation. Mais le CADIC a bien organisé une pétition « bidon » au sujet du bar le Central sans document et sans preuve de la part de la Mairie. Alors, pourquoi le CADIC cherche-t-il à masquer la vérité? Celle de n'avoir rien dit aux Cazalins, d'avoir laisser faire le Maire sans s'opposer d'abord au lotissement derrière l'église, emplacement pourtant idéal, et s'apercevant aujourd'hui que la solution du maire de La Teste est la seule possible! Mais maintenant que le projet du maire fait scandale, notamment en bradant le terrain à 14 € le m2 constituant un fabuleux cadeau de 15 millions de francs à Leclerc, le CADIC
fait semblant de ne pas être au courant !
Complaisant et pitoyable CADIC !

2/ Journal Sud-Ouest du 7 juillet 2004.

Cazaux. Suite à l'article publié dans notre édition du 30 juin 2004, le CADIC, via Jean-Marie Blanchet et François Boyer, reconnaît avoir appris dans le bureau du Maire l'étude de l'implantation d'une moyenne surface à l'entrée de Cazaux, mais le CADIC n'a ensuite pas émis d'opinion.

3/ Journal Sud-Ouest du 1er octobre  2004.

CADIC. Si les quatre élus de Cazaux ainsi que les commerçants Cazalins se sont exprimés sur le dossier d'implantation d'une surface commerciale, pour l'heure, le CADIC affiche un silence radio. Ce dont beaucoup s'étonne d'ailleurs, notamment à la mairie testerine. Le maire, Jean-François Acot-Mirande, rappelle qu'à plusieurs reprises, sur ce dossier, il a rencontré une délégation du CADIC. « j'attends leur prise de position ».

4/ Journal Sud-Ouest du 7 octobre  2004.

Moyenne surface et CADIC. Les membres du CADIC ont tenu à donner leur sentiment sur le projet de création d'une moyenne surface, suite notamment à l'interrogation du maire, Jean-François Acot-Mirande sur leur « silence » : « Depuis des décennies, Cazaux réclame une moyenne surface et un poste de carburant, expliquent-ils. Le CADIC, de par ses fonctions auprès de la population cazaline est, donc, à priori, favorable à la mise en place de ce genre d'équipement.» Si, le CADIC a certes été informé du projet, ses membres  soulignent qu'il n'y a pas eu de concertation : « à ce jour, nous n'avons aucun document, aucun élément nous permettant de nous faire une opinion. Plus grave, la population cazaline est mise devant le fait accompli. Elle attend toujours le réunion publique promise par le maire de La Teste concernant les grands projets cazalins. Le CADIC déplore que « les méthodes employées soient toujours les mêmes, quels que soient les élus municipaux en place. »

LE CADIC A DIT : « … bien des attaques contre le CADIC sont mensongères et parfois diffamatoires ».

Si le CADIC a le sentiment de subir des attaques mensongères et parfois diffamatoires alors, il faut qu'il porte plainte et qu'il ne se contente pas de lancer la suspicion. Mais attention, les critiques formulées à propos du comportement d'une personne publique, dans l'exercice de ses fonctions et dans le cadre d'une action politique, ne sont pas diffamatoires, dès lors qu'elles s'appuient sur des faits irréfutables et ne visent pas la personne privée. Accuser quelqu'un de diffamation, sans raison, c'est être soi-même diffamatoire. D'ailleurs, Mme CASTELLO et M. MONTIER vont découvrir cela à leurs dépens…


LES INFOS DU MOIS

Rendez-vous avec le Sous-préfet le 10/11/2004.

INCROYABLE  ET STUPEFIANT !

Selon un procès verbal provenant de la Mairie de La Teste, il est établi qu'un conseil de quartier s'est tenu à Cazaux, le 10 juin 2004, au cours duquel on a informé les participants que des négociations étaient en cours avec le Centre Leclerc, pour l'implantation d'une surface commerciale sur les 32 hectares, lesquels pourraient aussi devenir une zone artisanale et commerciale.
Parmi ces participants, étaient présents 
M. Jean MAZE  et M. Yann DERRIEN membres du conseil d'administration du CADIC. Par conséquent, nous avons là, la preuve que ces derniers ont bien été informés de l'implantation d'un centre Leclerc sur les 32 hectares à l'entrée de Cazaux.
Donc, non seulement le Président du CADIC et François BOYER, ont eu
3 réunions avec le Maire de La Teste au sujet de l'implantation d'un Centre Leclerc à l'extérieur de Cazaux, mais également deux autres membres du Conseil d'administration du CADIC, M. MAZE et M. DERRIEN, étaient au courant de cette affaire, et se sont bien gardés eux aussi, d'alerter l'opinion.
Pire, le 27 juin 2004, 17 jours après ce conseil de quartier, au lieu de faire une pétition contre l'implantation de ce Centre Leclerc à l'extérieur de Cazaux, sur nos 32 hectares, M. MAZE et M. DERIEN avec le CADIC ont préféré organiser une pétition « bidon » au sujet de la vente du bar-restaurant « le Central ». Pour ce faire, ils ont invoqué une prétendue lettre que le Maire aurait signée et que le CADIC, à ce jour, n'a toujours pas publiée et qui, d'après le Maire de La Teste, serait un faux, si elle existe .
Voilà comment les dirigeants du CADIC ont choisi de défendre les intérêts des Cazalins !
STUPEFIANT !

Remplaçons le CADIC qui se comporte
comme la grenouille de l'expérience bien connue :

« Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager. Mais la température grimpe. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que ce qu'apprécie la grenouille et ça la fatigue un peu,  néanmoins elle ne s'affole pas. L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille n'aime plus du tout, mais elle s'est affaiblie, alors elle subit et n'agit pas. La température monte encore et viendra le moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire, adieu la vie !  Pauvre grenouille. Que n'a-t-elle été plongée directement dans l'eau à 50°, donnant immédiatement le coup de patte qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite? Cette expérience montre que lorsqu'un changement s'effectue d'une manière lente (depuis des décennies pour les Cazalins), il échappe à la conscience et ne suscite, la plupart du temps, aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte » / Olivier CLERC, écrivain philosophe.

SAMEDI 20 NOVEMBRE, à 12H 05
Thierry BLANCHET
Conseiller municipal
Elu de Cazaux
sera l'invité de Jean DUBROCA, en direct
dans l'émission de radio « Marée Haute »
Spécial dossier Cazaux-Commune
RADIO COTE D'ARGENT / FM 90.4
Retour aux informations