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LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS
SITE INTERNET DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE : ALIENOR.NET/BLANCHET
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Quoi de neuf
au CADIC ?
Au
programme : Saga d'une compromission flagrante avec
résignation à la clé.
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COMPLAISANT
ET PITOYABLE CADIC !
TROIS
réunions se sont
tenues entre le CADIC et le Maire de La Teste au sujet
de l'implantation d'un centre Leclerc à Cazaux. Réunions
confirmées dans la presse par le Maire de La Teste
qui demande au CADIC de prendre position et sous-entend
que c'était prévu ainsi : « j'attends votre prise
de position ». Autrement dit, dépêchez-vous le
CADIC, ne me lâchez pas, j'ai besoin de vous, c'était
entendu entre nous ! » Jean-Marie Blanchet et
François Boyer ont bien reconnu, dans la presse, qu'ils
connaissaient l'existence d'un projet d'un centre
Leclerc alors pourquoi, maintenant, ne veulent-ils
l'admettre? Pourquoi le CADIC affirme-t-il qu'il n'y
a pas eu de concertation alors qu'ils ont vu à plusieurs
reprises le Maire à ce sujet. C'est le Maire qui le
dit !
Le CADIC affirme qu'il n'a eu aucun document ou aucun
élément lui permettant de se faire une opinion au
sujet de cette implantation. Mais le CADIC a bien
organisé une pétition « bidon » au sujet
du bar le Central sans document et sans preuve de
la part de la Mairie. Alors, pourquoi le CADIC cherche-t-il
à masquer la vérité? Celle de n'avoir rien dit aux
Cazalins, d'avoir laisser faire le Maire sans s'opposer
d'abord au lotissement derrière l'église, emplacement
pourtant idéal, et s'apercevant aujourd'hui que la
solution du maire de La Teste est la seule possible!
Mais maintenant que le projet du maire fait scandale,
notamment en bradant le terrain à 14 € le m2
constituant un fabuleux cadeau de 15 millions
de francs à Leclerc, le CADIC fait
semblant de ne
pas être au courant !
Complaisant et
pitoyable CADIC !
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4/
Journal Sud-Ouest du 7 octobre 2004.
Moyenne
surface et CADIC. Les
membres du CADIC ont tenu à donner leur sentiment sur le
projet de création d'une moyenne surface, suite notamment
à l'interrogation du maire, Jean-François Acot-Mirande sur
leur « silence » : « Depuis des décennies,
Cazaux réclame une moyenne surface et un poste de carburant,
expliquent-ils. Le CADIC, de par ses fonctions auprès de
la population cazaline est, donc, à priori, favorable à
la mise en place de ce genre d'équipement.» Si, le CADIC
a certes été informé du projet, ses membres soulignent
qu'il n'y a pas eu de
concertation : « à
ce jour, nous n'avons aucun
document, aucun
élément nous permettant de nous faire une opinion.
Plus grave, la population cazaline est mise devant le fait
accompli. Elle attend toujours le réunion publique promise
par le maire de La Teste concernant les grands projets cazalins.
Le CADIC déplore que « les méthodes employées soient
toujours les mêmes, quels que soient les élus municipaux
en place. »
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INCROYABLE
ET STUPEFIANT !
Selon
un procès verbal provenant de la Mairie de La Teste, il
est établi qu'un conseil de quartier s'est tenu à Cazaux,
le 10 juin 2004,
au cours duquel on a informé les participants que des négociations
étaient en cours avec le Centre Leclerc, pour l'implantation
d'une surface commerciale sur les 32 hectares, lesquels
pourraient aussi devenir une zone artisanale et commerciale.
Parmi ces participants, étaient présents M.
Jean MAZE et M. Yann DERRIEN
membres du conseil d'administration du CADIC. Par conséquent,
nous avons là, la preuve que ces derniers ont bien été informés
de l'implantation d'un centre Leclerc sur les 32 hectares
à l'entrée de Cazaux.
Donc, non seulement le Président du CADIC et François BOYER,
ont eu 3 réunions
avec le Maire de La Teste au sujet de l'implantation d'un
Centre Leclerc à l'extérieur de Cazaux, mais
également deux autres membres
du Conseil d'administration du CADIC, M. MAZE et M. DERRIEN,
étaient au courant de cette affaire, et se sont bien gardés
eux aussi, d'alerter l'opinion.
Pire, le 27 juin 2004,
17 jours après ce conseil
de quartier, au lieu de faire une pétition contre l'implantation
de ce Centre Leclerc à l'extérieur de Cazaux, sur nos 32
hectares, M. MAZE et
M. DERIEN avec le CADIC ont préféré organiser une pétition
« bidon »
au sujet de la vente du bar-restaurant « le Central ».
Pour ce faire, ils ont invoqué une prétendue lettre que
le Maire aurait signée et que le CADIC, à ce jour, n'a toujours
pas publiée et qui, d'après le Maire de La Teste, serait
un faux,
si elle existe .
Voilà comment les dirigeants du CADIC ont choisi de défendre
les intérêts des Cazalins ! STUPEFIANT
!
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Remplaçons
le CADIC qui se
comporte
comme la grenouille de l'expérience bien connue :
« Imaginez
une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage
tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la
marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède.
La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à
nager. Mais la température grimpe. L'eau est maintenant
chaude. C'est un peu plus que ce qu'apprécie la
grenouille et ça la fatigue un peu, néanmoins elle
ne s'affole pas. L'eau est cette fois vraiment chaude.
La grenouille n'aime plus du tout, mais
elle s'est affaiblie, alors elle subit et n'agit
pas. La température
monte encore et viendra le moment où la grenouille va tout
simplement finir par cuire, adieu la vie ! Pauvre
grenouille. Que n'a-t-elle été plongée directement dans
l'eau à 50°, donnant immédiatement le coup de patte
qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite? Cette expérience
montre que lorsqu'un changement s'effectue d'une
manière lente (depuis des décennies pour les Cazalins),
il échappe à la conscience et ne suscite, la plupart du
temps, aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte »
/ Olivier CLERC, écrivain philosophe.
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