Monique GUILLON, depuis  trois ans au bureau du CADIC.   Bilan !
Qu'avez-vous dit ou qu'avez-vous fait, quand :
· M. MONTIER ET MME CASTELLO AUGMENTENT LES IMPOTS A CAZAUX ? RIEN.
· M. MONTIER REFUSE DE PRENDRE PART AU VOTE DES BUDGETS 2003 et 2004 ? RIEN.
· M. MONTIER ET MME CASTELLO REFUSENT DE CREER LE GROUPE CAZAUX-COMMUNE AU SEIN DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA TESTE ? RIEN.
· M. MONTIER NE PREND PAS PARTI CONTRE LE PROJET D'AMENAGEMENT DES 32 HECTARES A L'ENTREE DE CAZAUX ? RIEN.
· LE MAIRE DE LA TESTE EVINCE DE LA COBAS LE SEUL ELU REPRESENTANT LES CAZALINS ? RIEN.
· MME CASTELLO ET M. MONTIER VOTENT LA CREATION D'UN CONSEIL DE QUARTIER A CAZAUX ? RIEN. PIRE, LE CADIC PARTICIPE AU CONSEIL DE QUARTIER ALORS QU'IL EST POUR CAZAUX-COMMUNE.
· THIERRY BLANCHET VOUS A ECRIT PAR TROIS FOIS POUR VOUS PROPOSER UNE COOPERATION : RIEN. SES LETTRES SONT RESTEES SANS REPONSE.     ELLES ONT FAIT L'OBJET D'UN SEUL COMMENTAIRE DE VOTRE PART : « IL NOUS PREND POUR DES C... »
· THIERRY BLANCHET VOUS DEMANDE PAR ECRIT DE MONTRER LA LETTRE QUI SERAIT A L'ORIGINE DE VOTRE PETITION CONTRE LA VENTE DU CENTRAL ? RIEN.
· LE CADIC A ÉTÉ PRIS EN MAIN PAR M. DANIEL ROIG, BRAS DROIT DE MONSIEUR SERRANO, DIRECTEUR DE SES PRÉCÉDENTES CAMPAGNES ÉLECTORALES POUR LE PARTI SOCIALISTE ? RIEN, BIEN AU CONTRAIRE, VOUS VENEZ LUI DONNER UN COUP DE MAIN.
·?LE CADIC COLLABORE AVEC LE MAIRE SOCIALISTE DE LA TESTE, SOUTIENT UN PROJET DÉMESURÉ DONT LE GIGANTISME ET LA LOCALISATION N'ONT RIEN À VOIR AVEC CE QUE SOUHAITENT LES CAZALINS ET LES COMMERÇANTS DE CAZAUX ? VOUS APPROUVEZ.
· LE MAIRE, DANS UNE PÉRIODE OÙ SE JOUE L'INDÉPENDANCE DE CAZAUX, ACCOMPLIT LÀ UNE « SUBTILE » MANŒUVRE POLITIQUE (AVEC LA COMPLICITÉ DE M. MONTIER ET DE MME CASTELLO) POUR RENDRE CAZAUX « CITÉ DORTOIR », DÉSERTIFIER LE CENTRE, ET EN FAIRE DÉFINITIVEMENT UN QUARTIER DE LA TESTE ? RIEN.
· L'ANCIEN PRÉSIDENT DU CADIC A COLLABORÉ, PENDANT TROIS ANS, AVEC MME CASTELLO AU SEIN DU SYNDICAT D'INITIATIVE, ASSOCIATION PRISE EN MAIN PAR LE PARTI SOCIALISTE DE LA TESTE AVEC LA COMPLICITÉ DES SOCIALISTES DE CAZAUX ? RIEN
· LE CADIC DÉSAPPROUVE LA QUESTION RÉPÉTÉE PAR THIERRY BLANCHET À M. RENÉ SERRANO : «ÊTES-VOUS POUR OU CONTRE CAZAUX-COMMUNE » ? VOUS DESAPPROUVEZ !
· L'ANCIEN PRESIDENT DU CADIC PARLE DU MAIRE DE LA TESTE, DANS UNE ÉMISSION DE RADIO, COMME D'UN BRAVE HOMME QUI ESSAYE DE FAIRE CE QU'IL PEUT ? RIEN.
· LE MAIRE A INSCRIT, AU BUDGET 2004, LA RIDICULE SOMME DE 128 000 € POUR RÉALISER DE NOUVEAUX ÉQUIPEMENTS A CAZAUX ? RIEN.

Double pétition, double langage !

Le CADIC dit partout, notamment par l'intermédiaire d'articles dans la presse locale, qu'il réalise une pétition au sujet des limites territoriales de la future commune de Cazaux. Depuis le 2 juillet 2004, le CADIC fait soit- disant signer cette pétition par les Cazalins. Nous sommes fin mars 2005 et le CADIC n'a toujours rien remis au Sous-Préfet en charge de lancer la procédure de séparation. En revanche, Thierry BLANCHET a remis, le 11 février 2005, au Sous-préfet, la pétition de confirmation de 825 Cazalins. En 15 jours, les Cazalins ont signé la pétition au Groupe Cazaux-Comune et le CADIC, au bout de 9 mois, n'est toujours pas capable de remettre les signatures du tiers des électeurs de Cazaux sur le bureau du Sous-préfet. Jusqu'à quand les Cazalins doivent-ils attendre? Jusqu'à quand le Sous-préfet doit-il attendre? Le CADIC connaîtrait-il une crise de confiance de la part des Cazalins, n'aurait-il plus assez de membres pour mener à bien la mobilisation, ou en fait, serait-il en train de retarder volontairement cette pétition? Le CADIC ménage le Maire de La Teste pour ne pas mettre en péril son mandat et faire en sorte que René SERRANO se présente à Cazaux sans avoir à dire s'il est pour ou contre Cazaux-Commune.

Conseil de quartier à Cazaux :
un vrai fiasco.

Un article de SUD-OUEST du 15/2/05 nous informe que le CONSEIL DE QUARTIER « ne fait pas recette » à CAZAUX. Dix personnes seulement ont répondu à l'appel du Maire et l'on n'a trouvé que 4 candidats pour le renouvellement des 27 conseillers (le CADIC n'a pas osé récidiver car on n'aurait vu que lui). Pourtant, au préalable, le Maire avait pris la peine d'écrire à chaque Cazalin, pour lui rappeler l'intérêt qu'il avait de participer au renouvellement des conseillers, en invoquant la Démocratie de proximité… Parlons en de la Démocratie : Cazaux est la seule ville de 5000 habitants, en France, où le Maire peut faire ce qu'il veut, sans le moindre risque électoral, puisque les Cazalins ne participent pas à son élection. C'est donc la question fondamentale qui pousse ces derniers à réclamer leur indépendance. Par conséquent, ce qu'ils veulent, c'est être une commune et non pas un quartier. Ils ont vite compris que ce Conseil de Quartier n'était qu'un instrument en forme de piège destiné à contrer la démarche volontariste du Groupe Cazaux-Commune qui veut soustraire Cazaux de la tutelle de La Teste. Certains, au début, par manque d'information, ont pu être abusés, par la présence au sein de ce conseil, de membres dirigeants du CADIC. Mais ils ont vite compris qu'on les avait embarqués dans un manœuvre de division de la population, orchestrée par le Maire, avec l'aide du CADIC, de Mme CASTELLO et M. MONTIER, deux élus qui ont carrément trahi leurs électeurs. Durant la séance de ce Conseil, on a annoncé « que la Maison pour tous n'était pas un projet abandonné mais que, devant l'importance du coût, le financement s'effectuera par tranches…. »  air connu !  UN FIASCO DE PLUS. En résumé : d'un côté, le nombre des conseillers de quartier passe de 27 à 4, de l'autre, la pétition organisée par le Groupe Cazaux-Commune recueille 825 signatures en 15 jours. Nous sommes sur la bonne voie.


La fenêtre océane, toujours d'actualité, toujours en vigueur et silence radio de la part du CADIC !
La fenêtre Océane, c'est un nouveau pôle urbain inscrit au schéma de mise en valeur de la mer qui a été publié dernièrement par le gouvernement. Ce nouveau pôle se trouve sur la future commune de Cazaux entre le Petit Nice et la Salie. 550 ha à aménager pour de nouvelles maisons alors que la surface de la commune d'Arcachon compte 750 ha de surface. Une route est prévue entre ce nouveau pôle et le bourg de Cazaux, traversant la forêt usagère et arrive, comme par hasard, sur nos 32 ha à l'entrée de Cazaux. Toutes les associations du Bassin qui défendent les intérêts des habitants, y compris au Cap-Ferret en passant par le Pyla, ont manifesté, officiellement, leur opposition auprès du Premier Ministre en faisant un recours gracieux, sauf le CADIC. Complaisance ou/et incompétence ?

« Un Mérignac soleil » sur nos 32 ha.

La vérité du Maire de La Teste enfin dévoilée au dernier Conseil municipal dans son projet d'aménagement et développement durable (PADD).
Intervention de Thierry BLANCHET
.
Nous sommes obligés de relever que vous souhaitez développer des activités commerciales et artisanales au niveau de l'entrée de Cazaux. Etant entendu que le mot activité et son adjectif « commerciale » sont au pluriel, on peut donc s'attendre, à l'entrée de Cazaux, à une zone commerciale de type « Mérignac soleil » puisque vous avez 32 hectares à vendre et à aménager et vous le confirmez page 23 en écrivant que « les zones actuellement classées NDc situées au Nord Ouest de Cazaux [..] devront être traitées dans le cadre d'une réflexion globale sur l'entrée de Cazaux ». Je rappelle qu'il s'agit toujours des 32 ha de réserve foncière des Cazalins ! Par ailleurs, dans votre document de synthèse, page 10, on découvre, en fait, que la zone NDc est destinée à l'extension des zones d'activités à l'entrée de Cazaux. Extension qui permettrait d'accueillir soit-disant de nouvelles opérations commerciales, artisanales et tertiaires. Autrement dit, on commence par l'implantation d'une surface commerciale de type centre Leclerc qui doit conduire naturellement au développement d'une vaste zone commerciale sur ces 32 hectares. Vous confirmez donc que l'entrée de Cazaux deviendra un « Mérignac Soleil bis » pour les habitants de l'agglomération du Sud-Bassin. Je vais donc
consulter les Cazalins pour savoir s'ils sont d'accord avec vous.

Pourquoi l'enseigne Leclerc irait-elle investir des milliers d'euros à Cazaux dans un cul-de-sac ? Seulement parce que les Cazalins ont besoin d'une surface commerciale ? Il n'y a que le CADIC pour le croire ou plutôt nous le faire croire. Il faut « deux carottes » : une zone commerciale pour faire un « Mérignac soleil » bis et un nouveau pôle urbain (la fenêtre Océane) de 5 000 habitants à 3 kms de Cazaux avec sa route qui arrivera en pleine zone commerciale.

Le Groupe Cazaux-Commune propose une troisième solution au Maire.

QUESTION EN SEANCE.
au Conseil Municipal du 29/03/05, qui sera posée par Thierry BLANCHET, Conseiller municipal, élu de Cazaux.
Objet : Vente du terrain ESSO à l'entrée de Cazaux.
Monsieur le Maire,
Tout près du centre de Cazaux, et accessible par un rond-point déjà existant, se trouve un terrain vierge de plus de 3 700 m2 cadastré CV 115, appartenant à la société ESSO-REP qui a mis en vente tous ses actifs. Cette offre d'achat nous a été confirmée par la société ESSO-REP. Elle fait l'objet d'une publication dans des revues spécialisées et elle figure aussi sur le site internet d'ESSO-REP.
Par sa taille et son emplacement, c'est une opportunité unique qui nous est offerte, pour implanter une surface commerciale étant entendu que ce terrain est libre, dépollué, en vente et qu'il ne s'inscrit pas dans les éléments de production.
Vous n'avez pas voulu saisir l'occasion d'implanter notre surface commerciale sur les 2 hectares situés derrière l'église. Tout comme vous avez refusé l'emplacement « Marty et Mille », ce qui aurait permis d'implanter une moyenne surface dans le centre ville. Dois-je vous rappeler que c'est le choix exprimé par une très large majorité des commerçants de Cazaux ? Dois-je aussi vous rappeler que concernant le choix exprimé par les habitants, vous avez refusé de réaliser un référendum local comme je vous l'avais demandé ?
Aujourd'hui, ceux qui dirigent actuellement l'association dénommée CADIC, et qui sont de vos amis politiques, présentent aux Cazalins, comme seule et unique solution d'implantation d'une surface commerciale à Cazaux, celle située sur les 32 hectares à l'extérieur de Cazaux. La mise en vente du terrain ESSO-REP nous donne, en dehors de votre choix qui a déjà fait l'objet d'un rejet de la part de la Commission Départementale des Equipements Commerciaux (CDEC),
une troisième possibilité.
Aussi, Monsieur le Maire, compte tenu de cette nouvelle opportunité qui se présente, pouvez-vous adresser une offre d'achat à la société ESSO-REP, propriétaire de ce terrain, via la SEMLAT ?
Par ailleurs, il apparaît que votre droit de préemption ne pourra pas s'exercer étant entendu que nous sommes face à une vente par actions. En revanche, à défaut d'accord amiable, il n'en demeure pas moins que vous pouvez exercer votre droit à l'expropriation pour cause d'utilité publique.
Au nom des Cazalins, je vous remercie de répondre à cette question !     
A SUIVRE


Syndicat d'initiative de Cazaux : ils ont réussi à l'avoir… !

Notre Syndicat d'Initiative gênait car il était, depuis sa création, le symbole de l'émancipation de Cazaux, du fait de son autogestion responsable. Il était ainsi le seul organisme au sein duquel des Cazalins géraient, décidaient, et surtout, projetaient, à l'extérieur, l'image de Cazaux, sans passer par La Teste. Il constituait le bastion avancé des défenses et des espoirs de Cazaux-Commune. Aucun maire précédent n'était parvenu à s'en emparer. Notons qu'aucun maire n'avait eu des transfuges cazalins à son service…
Ainsi donc, au cours du Conseil Municipal du 10/03/05, une conseillère de la majorité du Maire de La Teste a fait état d'une lettre émanant de Mme CASTELLO, Présidente du Syndicat d'Initiative de Cazaux, qui n'avait pas daigné se déplacer pour accomplir cette basse besogne. Dans cette lettre, cette dernière se déclarait favorable à la création d'un EPIC (établissement public industriel et commercial) entraînant la disparition pure et simple de notre Syndicat d'Initiative cazalin. Comment en est-on arrivé là ?
La recette employée pour aboutir à ce résultat est simple à condition de trouver les ingrédients nécessaires :
1/ prenez une conseillère municipale qui a « retourné sa veste »,
2/ prenez un adjoint spécial de Cazaux qui lui aussi « a retourné sa veste »,
3/ ajoutez-y l'équipe du CADIC qui fait le contraire de ce qu'il dit et soutient des élus parjures. Cela a permis à cette Conseillère, le jour venu, de livrer le syndicat d'initiative au Maire La Teste.
Vous l'avez bien compris, tous ces coups tordus
au profit de La Teste, sont l'œuvre de Sylvie CASTELLO, mise en place et appuyée par Claude MONTIER aidé de son épouse, de Claude MARTINERI, de Jean-Marie BLANCHET alors Président du CADIC, de Claude LAFON aidé de sa fille et de l'incontournable François BOYER, garant des intérêts de son ami ACOT-MIRANDE, pour ne citer que les principaux. Voilà à qui nous devons la disparition du Syndicat d'Iniative de Cazaux.
Le début de l'opération ne date pas d'hier. Souvenez-vous : nous en avions parlé dans le CAZAOUS INFO N°8 de mars 2004 (vous pouvez relire l'article
LE CHEVAL DE TROIE sur notre site  http://www.alienor.net/blanchet/). Nos prédictions paraissaient incroyables. Et pourtant ils l'ont fait !
Nous écrivions alors : « le flambeau s'éteint peu à peu ». Le voilà maintenant complètement éteint…
Mais il flambera de nouveau pourvu qu'on s'y mette tous. Ce mauvais coup porté à Cazaux, aura comme seul effet de renforcer notre détermination à réaliser le projet Cazaux-Commune.
Au fait, pourquoi la nouvelle Présidente du CADIC, notre chère Monique GUILLON, n'a-t-elle rien dit ? Elle a donc laissé faire La Teste comme à son habitude. Elle agit donc bien dans la continuité de Jean-Marie BLANCHET. Rien n'a donc changé au CADIC.

Condamnation  La Dépêche du Bassin n°460
« Faire de l'esprit sur un événement aussi dramatique que le tsunami qui a provoqué tant de morts et de désolation est de mauvais goût », a écrit Thierry BLANCHET, conseiller municipal, élu de Cazaux à la suite d'un courrier de M. MAZE intitulé « La vague épargne Cazaux ». « Les écrits de M. MAZE sont totalement déplacés. Ils discréditent l'image des Cazalins et ne redorent pas le blason du CADIC, dont M. MAZE est un illustre dirigeant. Le Groupe Cazaux-Commune se désolidarise face à de tels propos et demande à la nouvelle Présidente du CADIC, Monique GUILLON, puisqu'elle souhaite profiter de son mandat pour restaurer l'image du CADIC à l'extérieur de Cazaux, de condamner publiquement M. MAZE pour ses propos irresponsables ». M. MAZE s'exprimait en son nom et non au nom du CADIC. Il rappelait que le lac de Cazaux, situé à 20,94 m d'altitude, était au même niveau que le clocher de l'église de La Teste et que Cazaux ne pouvait donc pas être touché par un tsunami de 10 m de hauteur. Mais, écrit-il notamment, « dans l'éventualité de ce tsunami, les Cazalins pourraient aller ramasser des huîtres sur la voie rapide ».
Il a écrit aussi : « on ne peut pas avoir tous les malheurs à Cazaux », « les Testerins seraient obligés de venir se ravitailler au centre Leclerc de Cazaux, seul centre commercial du Sud-Basssin rescapé des eaux. Quelle revanche à l'encontre de tous les opposants à l'installation de cette moyenne surface. »
Comment peut-on cautionner de tels propos ?

Suppression d'un service public !
La COBAS met à notre disposition une navette (bus) assurant la liaison Cazaux - La Teste - Arcachon trois fois par jour ouvrable (8h - 14h - 19h) pour ceux qui n'ont pas de voiture ou ne peuvent pas en conduire. Si vous arrivez en gare d'Arcachon, il faut viser 7h30 le matin (rarissime) ou attendre 13h30 ou 18h30 pour gagner Cazaux ; ceci pour ceux qui voyagent et laissent leur voiture à la maison. Sinon vous pouvez prendre un taxi : il vous en coûtera entre 30 et 35 €, soit le prix du TGV que vous venez de prendre. Très intéressant. Mais voilà : à partir d'août la navette, qui ne s'en sort pas, ne renouvellera pas son contrat. Et la COBAS envisagerait de la remplacer par un transport en taxi « à la demande » dont le prix à la charge de l'usager serait « limité ». Que devient le service public proposé aux Cazalins ? Vivement que le futur Maire de Cazaux renégocie des conditions normales de déplacement. Mais au fait, que dit le CADIC à ce sujet ? RIEN !

Message : Madame la Présidente du CADIC, où sont vos membres actifs susceptibles de faire signer 825 Cazalins pour une pétition en 15 jours ? N'est-il pas opportun d'en tirer des conclusions et de rejoindre une ligne de conduite plus conforme à l'éthique du protocole d'accord « Cazaux-Commune » que le CADIC et moi-même avons signé préalablement aux dernières élections municipales  ?                       Thierry BLANCHET.