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Syndicat
d'initiative de Cazaux : ils ont réussi à l'avoir… !
Notre
Syndicat d'Initiative gênait car il était, depuis sa création,
le symbole de l'émancipation de Cazaux, du fait de son autogestion
responsable. Il était ainsi le seul organisme au sein duquel
des Cazalins géraient, décidaient, et surtout, projetaient,
à l'extérieur, l'image
de Cazaux, sans passer par La Teste. Il
constituait le bastion avancé des défenses et des espoirs
de Cazaux-Commune. Aucun maire précédent n'était parvenu
à s'en emparer. Notons qu'aucun maire n'avait eu des transfuges
cazalins à son service…
Ainsi donc, au cours du Conseil Municipal du 10/03/05, une
conseillère de la majorité du Maire de La Teste a fait état
d'une lettre émanant de Mme CASTELLO, Présidente du Syndicat
d'Initiative de Cazaux, qui n'avait pas daigné se déplacer
pour accomplir cette basse besogne. Dans cette lettre, cette
dernière se déclarait favorable à la création d'un EPIC
(établissement public industriel et commercial) entraînant
la disparition pure et simple de notre Syndicat d'Initiative
cazalin. Comment en est-on arrivé là ?
La recette employée pour aboutir à ce résultat est simple
à condition de trouver les ingrédients nécessaires :
1/ prenez une conseillère municipale qui a « retourné
sa veste »,
2/ prenez un adjoint spécial de Cazaux qui lui aussi « a
retourné sa veste »,
3/ ajoutez-y l'équipe du CADIC qui fait le contraire de
ce qu'il dit et soutient des élus parjures. Cela a permis
à cette Conseillère, le jour venu, de livrer le syndicat
d'initiative au Maire La Teste.
Vous l'avez bien compris, tous ces coups tordus au
profit de La Teste, sont
l'œuvre de Sylvie CASTELLO, mise en place et appuyée par
Claude MONTIER aidé de son épouse, de Claude MARTINERI,
de Jean-Marie BLANCHET alors Président du CADIC, de Claude
LAFON aidé de sa fille et de l'incontournable François BOYER,
garant des intérêts de son ami ACOT-MIRANDE, pour ne citer
que les principaux. Voilà
à qui nous devons la disparition du Syndicat d'Iniative
de Cazaux.
Le début de l'opération ne date pas d'hier. Souvenez-vous
: nous en avions parlé dans le CAZAOUS INFO N°8 de mars
2004 (vous pouvez relire l'article LE
CHEVAL DE TROIE sur
notre site http://www.alienor.net/blanchet/). Nos
prédictions paraissaient incroyables. Et pourtant ils l'ont
fait !
Nous écrivions alors : « le flambeau s'éteint
peu à peu ». Le voilà maintenant complètement éteint…
Mais il flambera de nouveau pourvu qu'on s'y mette tous.
Ce mauvais coup porté à Cazaux, aura comme seul effet de
renforcer notre détermination à réaliser le projet Cazaux-Commune.
Au fait, pourquoi la nouvelle Présidente du CADIC, notre
chère Monique GUILLON, n'a-t-elle rien dit ? Elle a donc
laissé faire La Teste comme à son habitude. Elle agit donc
bien dans la continuité de Jean-Marie BLANCHET. Rien n'a
donc changé au CADIC.
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