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CAZAOUS   INFO   N°7

Questions écrites posées en séance du Conseil Municipal par Thierry BLANCHET

Conseil Municipal du 27 mars 2003.
Objet : Destruction d'un bâtiment communal à Cazaux.
Monsieur le Maire,
Monsieur l'Adjoint spécial de Cazaux,
Pourquoi avez-vous détruit un bâtiment communal situé à proximité du lac, en face de l'ancienne gare de Cazaux ?
Vous avez signé le permis de démolir le 13/09/2002.
Ce bâtiment vétuste faute d'entretien, mais pas en ruine, avait une SHON de 163 m2, facilement extensible à 200 m2.
Il était situé à 100 mètres environ du rivage.
Il aurait été facile de le réhabiliter et de l'agrandir, et plusieurs clubs et associations en espéraient l'usage.
Or ce bâtiment, une fois détruit, ne peut plus être reconstruit car situé en forêt usagère, site classé et espace remarquable du littoral.
Il s'agit donc d'une perte définitive et il n'apparaît pas qu'une solution de remplacement puisse être envisagée.
De plus, le conseil municipal n'a pas délibéré sur cette destruction. Son avis devait être pris conformément aux dispositions de l'article L 2122-21 du CGCT car cette action relève de la gestion des biens immobiliers de la commune et non des affaires courantes.

Réponse du Maire et de l'Adjoint Spécial :
M. le Maire indique que ce bâtiment a été acheté en 1996 par la  Commune  en vue d'un redressement de la voie et le principe de sa démolition a été validé, la même année, au cours d'une délibération du Conseil Municipal. M. Montier rappelle que cette destruction effectuée dans le but d'assurer la sécurité des usagers de cette voie, a été entreprise conformément à l'article L2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales et non le L2241-1 comme le prétend M. Blanchet…Il déclare également que c'est lui en personne, pour des raisons de sécurité (la bâtisse était squattée par des drogués), qui a ordonné la démolition de cette maison. Il ajoute qu'il n'a jamais entendu dire que des Associations en espéraient l'usage. M. Montier signale enfin qu'elle était insalubre car fort humide en raison de sa mauvaise orientation par rapport au soleil.
Nos commentaires :
Par défaut d'argent, à Cazaux, on préfère démolir les bâtiments plutôt que de les entretenir surtout quand ils peuvent être utiles dans une zone en site classé. (Souvenons-nous, également, comment a été détruit l'ancien bâtiment du syndicat d'initiative et ses dépendances!) Bravo, M. MONTIER pour votre décision. Le CADIC n'a rien dit, rien fait sur cette décision, pas plus que sur la reconstruction du syndicat d'initiative !

Conseil Municipal du 27 mars 2003.
Objet : Vente des 32 hectares de terrain communal à l'entrée de Cazaux, au lieu-dit «Jaumard ».
Monsieur le Maire,
Monsieur l'Adjoint spécial de Cazaux,
En séance publique, à Cazaux, le 18 décembre 2002, vous avez exposé le projet de vendre ce terrain communal à un promoteur en vue de réaliser un parc résidentiel de loisirs, des logements sociaux et des équipements sportifs privés.
Avez-vous toujours l'intention de vendre ce terrain à ce promoteur pour réaliser votre projet ?
Réponse du Maire :
Je vous ai déjà donné une réponse et chaque fois que vous me reposerez cette question, je répondrai de la même manière. Aucune décision n'est prise à ce sujet, je vous l'ai déjà signalé, je l'ai dit devant les Cazalins et je le répéterai. D'abord, si on prend une décision, on viendra l'expliquer à Cazaux contre vents et marées. D'autre part, aucune décision n'est prise, rien de ce qu'on peut dire n'a jamais été signé dans ce sens.
Nos commentaires :
Le Maire veut donc brader nos réserves foncières.
Les 32 hectares communaux à l'entrée des villages ont bien failli être transformés en un immense ensemble de mobile home, c'est-à-dire un sous-lotissement entièrement dispensé d'impôts locaux !
Et si le Maire de La Teste a renoncé provisoirement à ce projet ce n'est sûrement pas par crainte du jugement des électeurs de Cazaux, mais parce que l'affaire tournait à la révolte
 !
Demain, ce Maire, ou son successeur, pourra parfaitement imposer ce projet ! La menace demeure et M. MONTIER a refusé de prendre position ; qu'en a dit le CADIC? rien !

Si Cazaux était commune :

Notre bourg serait entièrement rénové. En effet, par souci d'aménager et de dynamiser le territoire girondin, le Conseil Général propose une politique qui vise à restructurer et à développer les bourgs de communes rurales de moins de 10 000 habitants. L'objectif du Département est de rendre les communes attractives, et d'encourager la cohérence de la restructuration et du développement  local sur plusieurs années. A cet effet, le Conseil Général propose de conventionner sur 3 ans des opérations d'investissements communaux.
La SEM Gironde Développement pourrait intervenir aussi pour nous aider à réaliser des projets de développement d'aménagements urbains.
Avec l'appui du Conseil d'Architecture et d'Urbanisme et d'Environnement de la Gironde, on pourrait aménager Cazaux. Tout comme l'entrée de notre village dans le cadre du Projet d'Agglomération de la COBAS ...


FÉVRIER 2004, NUMÉRO 7

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Questions écrites posées en séance du Conseil Municipal par Thierry BLANCHET

Conseil Municipal du 27 mars 2003.
Objet :
Implantation d'un lotissement « Castéra 2 » au centre de Cazaux
Monsieur le Maire,
Monsieur l'Adjoint spécial de Cazaux,
Pourquoi avez-vous autorisé l'implantation d'un lotissement au centre de Cazaux au lieu de réaliser, à cet emplacement, le projet du centre commercial ?
Vous le savez, la population et les commerçants de Cazaux souhaitent un centre commercial en centre ville. Aussi, ai-je été fort surpris de constater que, le 4/12/2002, vous ayez autorisé un lotissement de plus de 2 hectares avec 21 lots en plein centre ville, derrière le château d'eau.
C'était, peut être, la dernière opportunité de réaliser effectivement un centre commercial dans le centre.
Comment peut-on croire, maintenant, que la commune aura les ressources pour réaliser ce projet en secteur déjà bâti?
Réponse du Maire :
Thierry BLANCHET connaît mal les procédures en matière d'urbanisme, parce que le dossier de lotissement a été déposé en juin 2002, en application des règles INAb du Plan Local d'Urbanisme.
Ce projet respectant les dispositions du PLU, il était impossible de s'opposer à sa réalisation sans s'exposer à de forts contentieux. D'autre part, toutes les sociétés pressenties ont toutes écarté ce lieu d'implantation arguant de son manque de rentabilité. D'où l'intérêt, pour le développement de Cazaux, de vendre certains terrains à l'entrée de la ville. Les commerçants voudraient que cette implantation se fasse au centre ville, mais il serait possible de mener une action foncière favorisant les Cazalins.  Plus on attend et plus cette action sera difficile. Il est dommage qu'au cours de la réunion publique concernant la vente des « 32 hectares », la discussion ait tourné court…
Nos commentaires :
C'est le Maire de La Teste qui vient d'autoriser derrière l'église un lotissement à la place d'un supermarché, gâchant ainsi, avec la bénédiction de M. MONTIER, le dernier endroit central où l'on pouvait implanter notre supermarché et notre station service. Par contre à La Teste, on a su implanter un grand centre commercial à deux pas de l'église.  Il est certain que ce genre de situation n'aurait jamais pu se produire si Cazaux avait été doté d'un Maire et d'un Conseil Municipal. En effet,  le Maire aurait très bien pu modifier localement le plan local d'urbanisme ( voir aux Miquelots, à la zone industrielle, au Pyla…). Il a créé, avec M. MONTIER, une situation irréversible dans le centre de notre village. Cette implantation était envisagée avec le groupe Intermarché, représenté par son Directeur Régional, toujours en contact avec Thierry BLANCHET.
Encore une occasion perdue par le CADIC de manifester utilement son existence! Bravo à M. MONTIER et à Mme CASTELLO pour leur passivité
Constat :
M. ACOT-MIRANDE et M. MONTIER sont élus depuis 3 ans et nous n'avons toujours pas de supermarché et de station essence à Cazaux.

Cazaux et sa forêt usagère :
Notre forêt est notre fierté et notre richesse; il faut la défendre contre les terribles appétits qu'elle suscite. Elle doit demeurer, comme aujourd'hui, ouverte aux usagers, promeneurs, chasseurs, ramasseurs de champignons.
Certains disent : « à quoi bon les
droits d'usage puisqu'elle est maintenant classée ». C'est ignorer que l'Etat se désengage progressivement de ses devoirs et que bientôt les sites classés seront gérés par les Régions, rapprochant dangereusement les centres de décision de certains intérêts locaux…Il vaut donc mieux entasser les protections.
Les énervés du développement touristique doivent revenir à la réalité : jamais un tourisme de masse n'y sera possible. Notre forêt doit être ouverte avec modération et de manière encadrée.
Elle doit bénéficier d'un minimum de surveillance et d'entretien, notamment en matière de prévention du risque d'incendie.
Si Cazaux devient commune, le Maire sera le représentant des usagers, habitant à Cazaux.

Cazaux et son lac :
On y prélève de plus en plus d'eau potable pour Biscarosse, La Teste et Arcachon.
Sur ses rives, pourtant très protégées, on fait n'importe quoi sans autorisation, la mairie de La Teste laisse faire car elle fait de même…
Il faut contrôler et surveiller pour le protéger. A ce jour, personne n'assure cette mission.

Cazaux et ses espaces naturels.

La Région Aquitaine souhaite porter une attention particulière à la gestion de son patrimoine naturel : c'est un préalable à toute politique d'aménagement du territoire et de développement économique basée sur les qualités et les atouts régionaux. Ces actions spécifiques de protection du patrimoine et de valorisation des ressources naturelles, contribuent à l'amélioration du cadre de vie, à la sauvegarde de l'identité régionale. Cazaux avec ses espaces naturels doit s'inscrire dans cette politique. Ainsi, nous pourrions gérer notre patrimoine naturel (lac, forêt, océan) avec l'appui et les aides conséquentes de la Région et de l'Europe. Notre lac, notre massif forestier  (sites protégés et sensibles), notre faune et notre flore sont autant d'éléments qui peuvent être retenus pour qualifier l'espace naturel Cazalins, site majeur de la Région d'Aquitaine. Le Maire de la Teste a préféré faire classer les Prés-salés Testerins. Par ailleurs, la Région, pilote et accompagne les initiatives d'aménagement et de protection de la Côte atlantique. Cazaux, c'est 20 km de plages océanes.

 


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LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS

LES INFOS DU MOIS

René SERRANO :
Notre conseiller général
n'a toujours pas répondu à la question de Thierry BLANCHET : « Etes-vous POUR ou CONTRE Cazaux-Commune? ». L'outrance du simpliste Cazalin, à l'égard de l'intouchable Conseiller général, est donc toujours d'actualité. A suivre !

Alain CAMELEYRE réagit au tract de l'association Cazaux Cap Avenir :
Chers Cazalins,
Si je suis toujours resté Vice-Président de Cazaux Cap Avenir, c'est que j'attendais une réunion pour m'expliquer sur mon désaccord concernant l'attitude de Cazaux Cap Avenir à l'égard de Thierry BLANCHET. Mais aucune réunion n'a eu lieu.
D'autre part, le tract de janvier 2004 de Cazaux Cap Avenir a été réalisé sans l'aval du Conseil d'administration, dont la dernière réunion date d'un an. Cette association ne se réunit pas. Elle a été incapable de prendre position sur les orientations des élus de Cazaux-Commune, ni sur la participation du CADIC au Conseil de quartier de Cazaux.
J'ai donc donné ma démission de Cazaux Cap-Avenir!

Le CADIC a fait son assemblée générale : 50 membres présents pour entendre la même chanson.
Le CADIC a réuni 50 personnes. Dure et triste réalité pour une réunion publique en pleine procédure d'instruction pour faire Cazaux-Commune.
On reprend les mêmes pour faire les mêmes bêtises et pour dire les mêmes choses d'une année sur l'autre! Ils tournent en rond, ils n'avancent rien de nouveau et refusent la discussion.
Leur attitude irresponsable devant certaines trahisons et leur participation au Conseil de Quartier, ne peuvent que nuire à notre projet de commune.
Ils se sont  discrédités!

Thierry BLANCHET, invité par Cazaux Cap Avenir. Réponse au Président  :
Je vous remercie de m'avoir invité à votre réunion annuelle.
Toutefois, j'ai le regret de vous informer que je ne puis m'asseoir à une table avec :
1/ des personnes qui écrivent, dans un tract adressé aux Cazalins, que Thierry BLANCHET ne fait que polémiquer ;
2/ des personnes qui soutiennent le CADIC et, de ce fait, soutiennent l'attitude et le comportement de M. MONTIER et Mme CASTELLO ;
3/ une association qui se réunit une fois par an et dont la seule action consiste à publier un tract pour calomnier le seul élu qui défend les intérêts des Cazalins et respecte le protocole d'accord que vous avez signé.
Les Cazalins seront seuls juges de nos actes et de nos faits.
A bon entendeur, salut !
Au cours de cette réunion, en raison des motifs exposés par Thierry BLANCHET, et par solidarité avec ce dernier, Guy VERSINI et Alain CAMELEYRE ont démissionné de Cazaux Cap Avenir.
Thierry BLANCHET pense que ça ne vaut plus la peine de parler de cette association. C'est inutile de perdre son temps. Ils ne représentent plus rien.

Bien Vivre à Cazaux :
Association qui essaye d'exister !

L'association Bien Vivre à Cazaux a sorti, également, son tract annuel! Qui sont-ils? Le Président de cette association, M. SEBIE, est un champion dans l'art de retourner sa veste : hier, fervent de la séparation de Cazaux d'avec La Teste ; aujourd'hui, opposant à la séparation et se rangeant sous la bannière de l'ancien Maire de La Teste, M. ESPIED, il essaye, en vain, d'exister dans le débat cazalin en cherchant à nous opposer aux chasseurs.
Comme il le dit lui-même :
« Heureusement que le ridicule ne tue pas! ».


Groupe

Cazaux Commune

17, rue Guynemer - Cazaux

33260 LA TESTE DE BUCH

Tél : 06 08 25 40 92

Fax : 05 57 83 11 46

Cazaux, le 9 janvier 2004.

à M. ROGELET Thierry

Sous-Préfet de la Gironde

Chargé du Bassin d’Arcachon

Esplanade Charles de Gaulle

33077 BORDEAUX Cedex

Monsieur le Préfet,

En ce début d’année, permettez-moi de vous présenter  mes meilleurs vœux.

2004 sera, pour notre groupe, l’année de la démonstration de notre détermination pour aboutir à la séparation de Cazaux d’avec la Commune de La Teste.

Cette demande de séparation mobilise plus que jamais les Cazalins. Ils sont mobilisés, en effet, pour dénoncer l’injustice qu’ils subissent. L’Administration de l’intercommunalité en est un exemple significatif. Aucun élu de Cazaux à la COBAS, (le Maire de La Teste m’en a évincé), et l’on aboutit au résultat suivant : un projet d’agglomération est élaboré, des financements de l’Etat, du Conseil régional, du Conseil général sont prévus, des projets dans toutes les communes de la COBAS voient le jour, mais pour Cazaux, RIEN.

Notre demande de séparation ne se situe pas dans une logique de parti politique. Le Maire de La Teste le pense. C’est absurde ! Mon éviction du parti socialiste due au maintien de mes positions pour Cazaux-Commune prouve notre indépendance vis-à-vis des partis.

En ma qualité de Conseiller municipal, élu de Cazaux, je me permets de vous le redire : à Cazaux, l’injustice est patente, c’est indéniable et cette situation n’a que trop duré.

Les Cazalins sauront vous démontrer, à l’occasion de la venue du Commissaire enquêteur, que toute cette injustice n’existerait pas si Cazaux disposait de son propre conseil municipal et du pouvoir d’un Maire.

Monsieur le Préfet, il ne faut pas tarder, car Cazaux-Commune est une revendication forte et urgente exprimée par la majorité des Cazalins. A ce jour, la mobilisation reste intacte et pourra aller bien au-delà d’une simple pétition. Le collectif pour l’avenir de Cazaux, qui s’est mis en place courant novembre 2003, existe désormais pour faire face aux éventuelles difficultés.

Depuis le 27 juin 2003, la tendance s’est modifiée ; La jurisprudence a évolué dans un sens plus favorable à la création de nouvelles communes.. En effet, la Cour d’Appel Administrative de Nantes a considéré que le représentant de l’Etat avait commis une erreur manifeste d’appréciation, en refusant  d’ériger en commune distincte une commune associée, sans tenir compte de la volonté de la population et en se fondant sur une étude financière peu fiable. C’est pourquoi, je me permets de vous rappeler, avec l’appui de mon équipe et du collectif pour l’avenir de Cazaux, la volonté des Cazalins de voir Cazaux érigé en commune de plein exercice. La fiabilité de l’étude financière déjà finalisée avec l’aide d’un comité d’experts, viendra compléter les investigations menées, par ailleurs, par vos différents services.

Cazaux est forcément viable, c’est une évidence compte tenu des atouts industriels et touristiques qui caractérisent  cette agglomération de près de 5.000 habitants. D’ailleurs 88% des communes de France ont moins de 700 habitants et elles ne sont pas pour autant sous la tutelle de leur Préfet. En revanche, l’énumération et la justification des avantages de l’autonomie pour les Cazalins, seront basée sur une étude financière comparée, associée à une étude d’impact sur l’endettement et le niveau d’imposition à venir pour les Cazalins et les Testerins. Il ne s’agit pas de faire Cazaux-Commune au détriment des Testerins mais de donner aux Cazalins les bienfaits liés à un pouvoir décisionnel et financier dans une gestion de proximité.

Je crains qu’au-delà de son rôle de pétitionnaire, le CADIC ne soit pas à la hauteur de la démarche et des enjeux à venir. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons, dans un souci d’efficacité et de démocratie, permettre aux Cazalins de choisir la meilleure équipe qui devra constituer la Commission syndicale.

Par ailleurs, je vous confirme que nous contestons les limites territoriales que le CADIC vous a indiquées pour la future commune de Cazaux. Ces limites constituent des points de blocage potentiels forts avec la commune de La Teste dans la mesure où elles restent difficiles à matérialiser. Je joins à la présente un plan et une notice explicative des limites que l’on pourrait envisager de façon plus consensuelle.

Comme convenu, lors de notre dernière réunion à la Préfecture de Bordeaux, je me tiens à votre disposition dans le cadre de la procédure d’instruction et, pour faire suite à votre demande, je vous transmets mes coordonnées.

Dans l’attente,

Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, en l’assurance de ma considération distinguée.

Thierry BLANCHET

Conseiller Municipal

Elu de Cazaux


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