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CAZAOUS   INFO   N°8

Questions écrites posées en séance du Conseil Municipal par Thierry BLANCHET

Conseil Municipal du 27 mars 2003
Objet : Pompiers à Cazaux / Demande d'extension convention SDIS et BA 120.
Monsieur le Maire,
Au début de votre mandat, je vous ai demandé d'intervenir auprès du service départemental d'incendie et de secours, pour l'implantation d'un centre de première intervention à Cazaux. A cet effet, je vous ai remis un dossier, que j'avais constitué, et dont j'avais, à l'époque, exposé les éléments au groupe majoritaire.
Vous ne m'avez jamais informé de vos démarches relatives à ce dossier. Il m'a fallu attendre la séance publique, à Cazaux, du 18 décembre 2002, pour apprendre que le SDIS ne souhaitait pas l'implantation d'un centre de première intervention à Cazaux.
Le 3 janvier 2003, par voie de presse, nous apprenons, du chef du groupement sud-ouest du SDIS de la Gironde, que, dans le cadre de la révision du PLU, la Mairie de la Teste a débloqué un terrain sur la zone industrielle pour l'implantation d'un nouveau centre d'intervention. Dans ce cadre, le chef du groupement précise que la notion de commune disparaît au profit d'un secteur d'intervention et qu'ainsi le projet d'une caserne à Cazaux est obsolète.
Monsieur le Maire, j'attire votre attention, sur le fait que l'implantation de cette nouvelle caserne, au sein de la zone industrielle, n'est à ce jour qu'un souhait, n'ayant pas encore atteint le stade de projet, rien n'ayant été décidé par le Conseil d'administration du SDIS. D'autre part, si les délais d'intervention étaient ainsi réduits pour une intervention sur Cazaux, ils resteraient toutefois, trop longs, ce qui ne peut être acceptable. Aussi, je vous demande d'intervenir, en votre qualité de responsable de l'organisation des secours et de la sécurité sur la commune, auprès du Directeur du SDIS et du Colonel, commandant la base 120 de Cazaux, afin de demander une extension de la convention entre le SDIS et la BA 120 au secours à victime.
En effet, il existe, entre le SDIS et la BA 120, une convention qui permet aux pompiers militaires de la BA 120 d'intervenir dans un délai très court (7 minutes) dans le village de Cazaux. L'extension de la convention consisterait à appliquer le même procédé sur un appel au secours en présence d'une ou plusieurs victimes. L'intérêt d'une telle entente permettrait d'envoyer des secouristes, équipés de matériels pour sauver des vies humaines, dans le village de Cazaux ; l'évacuation vers l'hôpital pourrait être assurée par la caserne de pompiers de La Teste qui viendrait, immédiatement, sur Cazaux, en renfort et en relais des pompiers militaires.
J'ai eu l'occasion d'évoquer cette demande d'extension de convention avec l'actuel commandant la base 120 de Cazaux, notamment en présence du Président du CADIC, il m'a alors indiqué qu'il n'y était pas opposé. Aussi, Monsieur le Maire, je souhaite connaître votre position à l'égard de ma demande car, vous comprendrez au demeurant, qu'il n'est pas acceptable que les délais d'intervention pour secours à victimes soient aussi longs pour les habitants de Cazaux.

Résumé de la réponse du Maire :
Le dossier important, que lui a remis Thierry BLANCHET, a été  transmis au SDIS qui y a opposé une fin de non recevoir.
Le déplacement de la caserne de La Teste en bordure de la zone d'activité est une demande du SDIS, qui estime qu'il est hors de question d'implanter une caserne secondaire à Cazaux (financement) mais souhaite raccourcir les délais d'intervention en s'affranchissant des embarras de circulation au centre de La Teste. Cette solution, qui n'est qu'un projet, n'est pas idéale pour la sécurité des Cazalins, mais a le mérite d'être réalisable. Alors, Monsieur le Maire, qui est soucieux de la sécurité des Cazalins, a examiné cette extension de la convention entre la BA 120 et le SDIS. Il semblerait que le Colonel Commandant la base n'y soit pas opposé, mais il faut aussi que l'autre partenaire (le SDIS) soit d'accord. Monsieur le Maire promet de s'y employer.
Nos commentaires : A ce jour, le Maire de La Teste n'a rien fait à la suite de la demande de Thierry BLANCHET. Le Maire se moque totalement de notre sécurité. Tout comme M. MONTIER et Mme CASTELLO qui sont incapables d'interpeller le Maire sur la question des délais d'intervention des secours à Cazaux. Le CADIC, lui, se contente de dire, qu'à Cazaux, il règne, actuellement, de la confusion et brouille les cartes (cf: article ci-joint). Comment peut-on être aussi absurde ? Si notre élu, Thierry BLANCHET, pose une question aussi fondamentale, c'est pour défendre les intérêts des Cazalins et non pour brouiller les cartes. Notre sécurité n'intéresse pas La Teste et ce n'est pas le CADIC qui tente de remédier à ce problème puisqu'il est totalement absent sur cette question.

Conseil Municipal du 11 septembre 2003
Objet : Gens du voyage à Cazaux.
Monsieur le Maire,
Durant cet été, le stade communal  « le Clavier » à Cazaux a été envahi par des gens du voyage. Est-il vrai que vous étiez au courant depuis longtemps de leur arrivée ? Qui a donné l'ordre aux CRS de les acheminer à Cazaux ?
Résumé de la réponse du Maire :
Monsieur le Maire était depuis longtemps au courant de leur arrivée mais pas pour ce jour-là. En effet, lors d'une de leurs visites à la Mairie, ils avaient annoncé qu'ils viendraient fin juin sur la commune de La Teste. Des indices précurseurs lui ont permis de connaître le jour de l'arrivée des « gens du voyage » mais pas leur destination. La Police Municipale a été chargée de patrouiller dans la commune pour les localiser et prévenir le Maire qui pensait qu'ils se dirigeraient vers le stade Bonneval. La Police les a repérés trop tard. Ils avaient déjà pris l'embranchement de Cazaux, escortés par une voiture de CRS. La Police a participé à l'escorte jusqu'à la limite de son territoire de compétence. Quand M. le Maire et M. MONTIER sont arrivés au Clavier, 25 caravanes étaient déjà à l'intérieur du stade et c'est à ce moment qu'ils ont rencontré les Gendarmes qui avaient été prévenus trop tard. « Les gens du Voyage » ont dit au Maire qu'ils avaient été conduits à Cazaux par les CRS. Le Préfet délégué à la sécurité a affirmé à M.le Maire qu'aucun ordre ne leur avait été donné dans ce sens… Il y a eu un dysfonctionnement qui n'a pas servi Cazaux.
Nos commentaires : Si les gens du voyage se sont installés à Cazaux cet été, ce serait à cause d'un dysfonctionnement entre la police et la gendarmerie. Incroyable ! En fait, le Maire n'a pas osé avouer qu'il ne voulait pas les gens du voyage le long de la voie rapide et que sa solution, avec la bénédiction de M. MONTIER, c'était Cazaux. Qu'a dit le CADIC à ce sujet ?  RIEN !


MARS 2004, NUMÉRO 8

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Questions écrites posées en séance du Conseil Municipal par Thierry BLANCHET

Conseil Municipal du 17 juillet 2003
Objet : Demande d'extension des compétences de gendarmerie de la BA 120 pour la section de Cazaux.
Monsieur le Maire,
Dans le cadre d'un redécoupage des territoires, affectés à la police ou à la gendarmerie pour la sécurité des biens et des personnes, le Ministère de l'Intérieur envisage la disparition de la brigade de gendarmerie de La Teste. Cette brigade a pour mission de sécuriser le village de Cazaux alors que La Teste est sécurisée par un bureau de police dépendant du Commissariat d'Arcachon.
La décision de la disparition de la brigade de la gendarmerie affectée pour Cazaux ne dépend, certes, pas de vous mais, pour autant, vous n'avez rien fait pour manifester contre une telle décision auprès de M. le Préfet. M. MONTIER, votre adjoint, désigné pour s'occuper des Cazalins, se satisfait que Cazaux passe en zone police sans manifester aucune crainte, aucune inquiétude. Je n'ai, ainsi, ni vu ni entendu aucune déclaration publique de la part de M. MONTIER à ce sujet. Pourtant, de nombreux Cazalins s'inquiètent pour leur sécurité à venir. Aujourd'hui, Cazaux voit, plusieurs fois par jour, des gendarmes patrouiller dans leurs rues et arriver très vite à Cazaux dès que l'on a besoin de leur assistance. Demain, avec la police, ils craignent que le service rendu aux habitants de Cazaux ne soit pas du tout identique.
Leurs inquiétudes ne portent pas sur les compétences des policiers. Ce sont des fonctionnaires qui font bien leur travail, à qui je me permets de rendre hommage, mais comment bien travailler quand le territoire à surveiller va, à effectif constant, être agrandi. M. le Maire, les Cazalins ont raison de s'inquiéter car leur service public en matière de sûreté va forcément se dégrader. Pourquoi ne défendez-vous pas le maintien de notre gendarmerie pour Cazaux ? Parce que vous réclamez un véritable commissariat à La Teste ce qui implique que l'ensemble de votre commune soit en zone police. Autrement dit, les Cazalins doivent encore payer le prix fort de vos choix et de vos décisions et, en plus, avec la bénédiction de M. MONTIER et de Mme CASTELLO. C'est inadmissible !
Si vous réclamez un commissariat de police à La Teste alors je réclame, pour la sécurité des Cazalins, au nom du Groupe Cazaux-Commune que je représente au sein de ce conseil municipal, une brigade de gendarmerie à Cazaux. En effet, nous avons une brigade de gendarmerie sur la base aérienne de Cazaux qui peut tout à fait avoir, dans ses missions, la sécurité des habitants de Cazaux. Ils sont sur place, ils connaissent le territoire, les habitants ; ils sont déjà affectés, logés, équipés, autrement dit en ordre de marche pour garantir la sûreté de notre village. Au-delà de l'économie d'échelle que pourrez réaliser l'Etat dans cette affaire, je vous demande, Monsieur le Maire, en votre qualité de responsable de la sécurité des habitants de votre commune, d'interpeller Monsieur le Ministre de l'Intérieur et Madame la Ministre de la Défense pour qu'une extension des compétences de la brigade de gendarmerie de la base aérienne de Cazaux soit accordée de sorte que les Cazalins soient en sécurité par le maintien d'un service public de qualité.
Résumé de la réponse du Maire : C'est une des plus importantes questions qu'il a eu à traiter et tout comme lui, ses prédécesseurs ont essayé d'avoir une couverture policière normale, pour une commune  de 24 000 habitants, et pour l'instant, personne n'a réussi. Puis M. le Maire reproche à Thierry BLANCHET de l'accuser, par ignorance, de n'avoir rien fait. Il énumère les actions entreprises : - Sitôt l'élection passée, lettre au Préfet spécifiant le manque d'effectifs déployés sur la commune et l'anomalie de voir le territoire communal couvert par deux forces différentes. - Plusieurs interventions auprès du Sous-Préfet. - Quinze jours auparavant, lors d'une visite du Préfet, demande à nouveau d'un véritable Commissariat à La Teste, ouvert 24h/24 et 7j/7 et demande également des mêmes Gendarmes pour Cazaux. - Ultime intervention encore auprès du Préfet, auprès du Secrétaire Général du Ministère de l'Intérieur en compagnie de Mme le Député, pour faire remarquer que 11 Policiers c'était insuffisant pour une commune de 24 000 habitants. Donc, c'est décidé, c'est la zone « tout police » qui l'a emporté ; il n'y aura plus de Gendarmes, on peut le regretter, tout le monde est au courant jusqu'au Ministre de l'Intérieur, et le Maire n'y peut rien. Si nous avons, en janvier 2004, une zone « tout Police », demande a été adressée à Mme le Député et au Préfet pour qu'il y ait un véritable Commissariat à La Teste et un Commissariat annexe à Cazaux, si possible ouvert la nuit et le week-end. Mais il est à craindre que les effectifs soient insuffisants pour avoir ce commissariat à Cazaux.
Nos commentaires : Le Maire de La Teste n'a absolument pas répondu à la question posée par Thierry BLANCHET. Concernant la demande formulée dans sa question, le Maire a fait en sorte de ne rien entendre. Pas un mot, pas un signe, aucune allusion. Stupéfiant ! La seule motivation qui l'anime, c'est que Cazaux soit  zone police pour obtenir un commissariat à La Teste et éviter que nous ayons comme argument auprès du Préfet le fait que Cazaux soit séparé de La Teste pour la sécurité des habitants. Coup politique, bien sûr, dès lors que nous sommes les seuls, du ressort de la Cour d'appel de Bordeaux, à passer en zone police. Pourquoi les autres élus de Cazaux ne sont-ils pas montés aux créneaux ? Pourquoi le CADIC n'a-t-il encore  RIEN dit ?

Commentaires à l'article du journal Sud-Ouest du 26.01.04.

BA 120 : Réunion d'harmonisation des forces de sécurité avec le Sous-Préfet, Thierry ROGELET.
C'est avec satisfaction que nous avons appris que cette réunion avait permis des échanges fructueux, au niveau des rôles et tâches de la Gendarmerie de l'Air et de la Police Nationale, afin que les actions entreprises soient les plus efficaces. Un accord est même intervenu pour que certains types de matériels soient communs, lors d'interventions particulières. Ces dispositions vont dans le sens de la question écrite en séance du conseil municipal que Thierry BLANCHET a posée au Maire, sur l'opportunité et la possibilité d'intégrer la Gendarmerie de l'Air pour la sécurité à Cazaux. Bien que cette avancée prometteuse nous conforte, nous restons sur notre faim, en attendant les dispositions qui devraient être envisagées pour garantir un service public de qualité en matière de sécurité pour les Cazalins. Par ailleurs, nous apprenons que le Maire de La Teste, unique responsable de notre sécurité, n'était pas présent à cette réunion. A croire que ce n'est vraiment pas son problème. Rassurez-vous, il y avait notre adjoint spécial, M. MONTIER qui, à cette occasion, a manifesté de l'inquiétude pour la sécurité des Cazalins. Il serait temps ! Pourquoi, alors, n'a-t-il pas interpellé M. le Maire au  cours d'un Conseil municipal comme l'a fait Thierry BLANCHET. Il faut bien l'avouer, avoir du courage est une vertu que certains n'ont pas. Qu'à dit  le CADIC à ce sujet ? RIEN.


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LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS
SITE INTERNET DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE : ALIENOR.NET/BLANCHET

LES INFOS DU MOIS

D'après le journal Sud-Ouest du 28/02/2004, René SERRANO, notre conseiller général, habiterait Cazaux :
« Ce n'est un secret pour personne, le conseiller général (PS) habite désormais à Cazaux. Sauf imprévu, il devrait y demeurer lors des prochaines élections municipales. D'ici à ce qu'un nouveau candidat se trouve en lice pour mener une liste cazaline, il n'y aurait qu'un pas. Mais René Serrano se garde bien pour l'instant de le franchir, aucune rumeur d'ailleurs n'en faisant état. La situation politique est tellement embrouillée au village qu'il vaut mieux pour l'instant attendre, et voir venir. La sagesse est la première condition du bonheur, disait Sophocle… ».
Si René SERRANO est un habitant de Cazaux, il doit donc, plus que jamais, nous dire s'il est POUR ou CONTRE Cazaux-Commune. Question posée par Thierry BLANCHET depuis le mois d'Août 2003, et qui reste, encore à ce jour, sans réponse de la part de M. SERRANO. Mieux vaut,pour l'instant, attendre et voir venir. En effet, si Cazaux devient Commune, M. SERRANO pourra alors dire, à qui veut l'entendre, qu'il a toujours été pour Cazaux-Commune, puisque qu'aujourd'hui, il ne nous dit rien à ce sujet. La sagesse est donc une condition du bonheur... et le courage ?
A suivre !

Cazalins, le parti socialiste de La Teste,  dont M. René SERRANO fait partie, vous a écrit.
Ce document, qui a été généreusement distribué dans nos boîtes aux lettres, nous permet de lire :
Nos élus travaillent à un développement économique : Pour Cazaux, rien.
Gestion des Grands Sites naturels :
Pour Cazaux, rien.
Valorisation lucide et pragmatique de notre potentiel économique :
Pour Cazaux, rien.
Une jeunesse épanouie au cœur de la vie de la cité :
Pour Cazaux, édification d'un véritable centre social. Il serait plus exact d'écrire : projet d'une « auberge espagnole » dont on parle depuis 2 ans et qui n'est pas sortie de terre.
Un mieux vivre sur notre commune :
Pour Cazaux, extension de la salle des fêtes, amélioration des équipements sportifs du Clavier. Et contrairement à ce qui est indiqué, il n'y a pas eu de reconstruction de cale à bateau au Cercle de Voile de Cazaux. Normal, les socialistes de La Teste ne viennent pas souvent à Cazaux. Heureusement que M. Serrano habite maintenant Cazaux : ils seront au courant des travaux à Cazaux !
Il faut se rendre à l'évidence, ce bilan sur trois ans est insignifiant, voire totalement ridicule. Nous constatons, avec amusement, que le Parti Socialiste de La Teste, donc de Cazaux, fait état du même bilan que Monsieur Claude MONTIER de l'UMP. Qu'en pense le CADIC ? Toujours rien ! A suivre !

                    LE CHEVAL DE TROIE
On a pu lire, dans un article du journal Sud-Ouest du 7 février dernier  consacré au Syndicat d'initiative, que tout allait de mieux en mieux à Cazaux. Souvenons-nous maintenant de la déclaration du Maire disant qu'il ferait  tout pour que Cazaux-Commune n'ait plus sa raison d'être. 
Et l'on comprend alors que le Syndicat d'Initiative soit devenu la courroie de transmission de la propagande du Maire de La Teste qui maintenant a pris fermement
position contre notre projet d'indépendance.
Comment en est-on arrivé là ? Tout simplement parce que Mme CASTELLO, après avoir été élue
pour faire Cazaux-Commune, a effectué  une volte-face spectaculaire en refusant de former le Groupe Cazaux-Commune au sein du Conseil Municipal, comme le prévoyaient ses engagements, et en rejoignant le Groupe Majoritaire du Maire devenu notre principal adversaire. Après cela, il ne lui restait plus qu'à se faire élire Présidente du Syndicat d'initiative avec l'aide occulte de La Teste et la complicité de certains Cazalins. Notre Syndicat d'initiative qui était, depuis l'origine, le bastion avancé des défenses de Cazaux-Commune, est maintenant tombé aux mains de l'adversaire.
Mais ce n'est pas tout. Qui voit-on au poste de secrétaire, aux côtés de Sylvie CASTELLO ? Jean-Marie BLANCHET, Président du CADIC, soit disant défenseur du Projet Cazaux-Commune.
ON CROIT REVER .
Qu'en pensez-vous Cazalins ? Jean-Marie BLANCHET nous trahit comme l'ont fait Mme CASTELLO et M. MONTIER.
Qu'en pense le créateur de ce syndicat d'initiative de Cazaux, et ardent défenseur de son indépendance vis-à-vis de La Teste ? Le flambeau s'éteint peu à peu...

D'après le journal Sud-Ouest du 28/02/2004, Jean-Marie BLANCHET, Président du CADIC semble vraiment agacé :
« Jean-Marie BLANCHET, le Président du CADIC à Cazaux, tient à l'assurer : « Non et non, je n'ai aucun lien familial avec Thierry BLANCHET! ».
Il faut dire que les deux hommes ne jouent pas dans la même cour cazaline, c'est le moins que l'on puisse dire.
Aussi, Jean-Marie BLANCHET tient-il à rassurer les habitants de la Commune.
Il a d'ailleurs, pour s'en persuader, remonté fort loin son arbre généalogique. Et bien c'est non, et vraiment non ! ».
Cette terrible nouvelle a affecté fortement Thierry BLANCHET qui pensait avoir trouvé un cousin à Cazaux ! Quel choc d'apprendre, brutalement en lisant Sud-Ouest, qu'il n'est pas de la famille de Jean-Marie BLANCHET... Il y a vraiment des gens qui n'ont pas de chance. Va-t-il vraiment s'en remettre ? Sourions !


Quoi de neuf au CADIC ?
Comme à son habitude : Incohérence, confusion et désinformation.
Journal Sud-Ouest du 27/02/04.

« Rétablir son image brouillée » : A qui la faute si cette image est mauvaise ? Le CADIC a-t-il toujours été clairvoyant et cohérent ?
« Querelles incessantes » : N'est-il pas légitime et salutaire de contester avec véhémence les agissements ou comportements du CADIC ? Les conflits auxquels nous sommes confrontés ne sont pas de notre fait, ils nous sont imposés ; voici comment :

  • Quand le Maire de La Teste augmente les impôts et que l'Adjoint Spécial de Cazaux, M. MONTIER, le suit, est-ce une mauvaise querelle de le dénoncer ?
  • Quand le Maire de La Teste veut vendre nos 32 hectares, à l'entrée de Cazaux, et que M. MONTIER ne prend pas parti, est-ce une mauvaise querelle de le dénoncer ?
  • Quand le Maire de La Teste crée le Conseil de « quartier » de Cazaux avec Mme CASTELLO comme Conseillère référente, est-ce une mauvaise querelle de le dénoncer ?
  • Quand des membres du Conseil d'Administration du CADIC intègrent ce Conseil de « quartier », est-ce une mauvaise querelle de dénoncer cette incohérence ?
  • Quand M. MONTIER et Mme CASTELLO ne respectent pas les engagements qu'ils ont signés dans un protocole d'accord, est-ce une mauvaise querelle de dénoncer cette trahison ?

La devise du CADIC : Ne rien dire, ne rien entendre, ne rien voir.