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CAZAOUS   INFO   N°9

COBAS : Plan de déplacements urbains.
La communauté d'agglomération du Bassin Sud, «la COBAS», qui regroupe les 4 communes du Sud Bassin, vient de créer un « plan de déplacements urbains » pour mieux organiser les déplacements. Nous pourrions nous réjouir car nous pourrions croire que l'éloignement de Cazaux va enfin être pris en compte par la collectivité. Grave erreur, jugez-en :
Dans ce document, il existe 4 cartes : Cazaux n'existe dans aucune des 4 cartes ; il y a 5 tableaux statistiques : Cazaux n'y figure pas !  Seule La Teste est prise en compte ; nous sommes à son entière discrétion puisque non représentés à la Cobas, au mépris de tout esprit démocratique !
Mais direz -vous, on ne parle pas du tout de Cazaux dans cette étude ? Si , on parle de Cazaux pour dire qu'il faut « promouvoir le covoiturage » ! Autrement dit : débrouillez vous entre vous ! Merci Monsieur Acot-Mirande, Maire de La Teste ! Merci Monsieur Deluga, Président de la COBAS !
Décidément Cazaux -commune est urgent !
Qu'a dit le CADIC face à ce document ? RIEN.

COBAS : Programme local de l'habitat.
La COBAS élabore un programme pour évaluer les besoins en logements dans le Sud Bassin et pour permettre d'y répondre. Sur les 44 pages du programme d'actions conçu par la COBAS concernant le logement, on consacre 6 lignes à Cazaux ! Cazaux n'existe nulle part ailleurs dans ce programme très important. Des orientations importantes, des crédits considérables vont être programmés, et nous ? Nous regarderons, comme d'habitude, passer le train des subventions ! Décidément, Monsieur le Préfet, cette situation est insupportable : le déficit démocratique que nous subissons nuit trop à nos intérêts légitimes de citoyens et de contribuables ! Voilà pourquoi Cazaux doit être commune car nos élus nous représenteront à la COBAS pour défendre nos intérêts, notamment  dans le cadre du programme local de l'habitat. S'installer, démarrer dans la vie n'est pas une mince affaire, surtout à Cazaux. On aurait pu espérer que le CADIC monterait au créneau, face à la pauvreté de ce programme pour les Cazalins. Aucune réaction, RIEN de RIEN. Absent, une fois de plus, sur une question importante.

Pourquoi un nouveau groupe scolaire ?
La construction d'un nouveau Groupe Scolaire à Cazaux s'impose pour les raisons suivantes :
- le nombre des élèves ne cesse d'augmenter (c'était à prévoir).
- le site actuel ne peut accueillir de classes supplémentaires.
- les classes, les aménagements et les aires de récréation sont   obsolètes et ne peuvent être adaptés sans une refonte complète très coûteuse.
- des salles spécifiques sont nécessaires (informatique, arts plastiques, musique, gymnase, bibliothèque…).
- ce serait l'occasion de donner à cette nouvelle école un environnement favorisant l'accueil et la convivialité, afin qu'elle devienne, pour nos enfants, un lieu mythique de la connaissance et de l'instruction où se tissent des liens sociaux pour toute une vie.
Mais alors, que faire de l'école LAFON ainsi libérée?
Elle deviendrait, après aménagement, un espace réservé à la vie culturelle et à la vie associative. Une aubaine pour Tous. Un endroit convivial où les Cazalins aimeraient se rencontrer.
Pour avoir ce nouveau groupe scolaire,
entièrement financé par la COBAS, il faudrait le lui demander, donc être représenté à la COBAS, par conséquent être CAZAUX-COMMUNE  .
Pourquoi le CADIC n'a-t-il jamais RIEN dit à ce sujet ?

Comment garder ses enfants à Cazaux ?
Il existe, certes, une crèche, dans l'enceinte militaire, ayant pour vocation de garder les enfants Cazalins en bas âge, qu'ils soient militaires ou civils ; mais l'augmentation de la population l'obligera un jour à faire des choix ; sur quels critères ? Gérer c'est prévoir...! Qu'a-t-on prévu pour nos jeunes enfants pour l'avenir ?  Et pour les plus grands, tout est à créer...

Les Cazalins au Collège d'Arcachon ou dans l'annexe du Collège Henri DHEURLE ?
Si on parle d'envoyer nos enfants au Collège d'Arcachon, car ce dernier se vide de son effectif chaque année et, qu'à contrario, le collège de La Teste est saturé, Thierry BLANCHET demande, alors, au Maire de La Teste, de réaliser, à Cazaux, une annexe du Collège Henri DHEURLE. La compétence pour ce type de projet incombe, concernant les murs, au Conseil Général. Mais, si le Maire de La Teste veut prouver au Préfet et au Commissaire Enquêteur qu'il s'occupe des Cazalins alors, pourquoi n'a-t-il pas un projet à proposer pour nos jeunes Cazalins et pour les jeunes Testerins ? En effet, une annexe, à Cazaux, permettrait de désengorger le collège à La Teste et nos jeunes seraient heureux de rester sur place sans passer ce temps inutile et fatiguant dans les transports scolaires. A ce jour, pas de projet ; ils ont l'habitude de se lever tôt, ils feront alors le trajet Cazaux-Arcachon. « Pour quelques kilomètres de plus, on ne va pas en faire une histoire ». Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme dit le CADIC, soyons « calmes et sereins », - et résignés -  A suivre !

Informatisons nos écoles !
A l'heure où l'outil informatique prend de plus en plus de place dans notre vie quotidienne, aucun ordinateur n'a été mis à disposition de nos enfants par la Mairie pour réaliser ces apprentissages fondamentaux... L'utilisation de l'informatique conditionnera en grande partie les compétences de nos enfants.
Aucun budget d'équipement à ce sujet. Mais le vrai problème, c'est peut-être le lieu pour installer ces ordinateurs. Espoir, il reste encore un préau à aménager dans l'Ecole LAFON !
Allez, M. MONTIER au travail !

A Cazaux, un centre aéré au rabais !

Cazaux a beaucoup d'enfants et il est important de les encadrer et de les occuper pendant les vacances scolaires. C'est l'occasion d'intéresser les jeunes à l'environnement, aux arts, aux sports etc… Pour cela, il convient d'avoir des locaux adaptés ; or dans notre village indigent, nous n'avons que l'école… Avouons que c'est du bricolage ! Notre élu, Thierry BLANCHET, a demandé au Maire de construire, à la place du camping municipal (en face du cimetière), un centre de loisirs sans hébergement. Refusé. Qu'avons-nous aujourd'hui ? Rien… Et de plus, le centre aéré ne fonctionne que l'été. Qu'a dit  le CADIC à ce sujet ? RIEN.


Avons-nous besoin de logements abordables à Cazaux ?
Chacun connaît la hausse stupéfiante du prix des terrains et des loyers à Cazaux.
Ceci est dû à l'attractivité de notre région et à la raréfaction des terrains.
Comment vont se loger les jeunes ménages avec enfants, les personnes âgées, les personnes avec de
petits revenus ? Ce sont souvent des Cazalins de vieille souche qui se sentent « expulsés » de chez eux par les prix exorbitants des loyers pratiqués à Cazaux.
Une municipalité, si elle le veut, peut créer des logements pour satisfaire les Cazalins qui ont du mal à se loger ; il y a de nombreuses aides et subventions pour cela, notamment par la COBAS.
Quelques logements de ce type existent près du « Clavier », créés par l'ancienne municipalité, mais c'est très insuffisant.
Dans ce but, une vraie municipalité, aiguillonnée par ses électeurs, devra acquérir des maisons dans le centre car ces personnes, souvent dépourvues de moyen de transport, doivent être proches des services publics : école, mairie etc… Et ce n'est certainement pas avec des projets « loufoques » comme l'aménagement des 32 hectares à l'entrée de Cazaux qu'on résoudra ces problèmes de logements. Aux dernières nouvelles, notre adjoint spécial, M. MONTIER, ne sait toujours pas si c'était un bon projet…
a-t-il donc si peur de déplaire au Maire de La Teste ?  Et le CADIC : toujours RIEN à dire ! Et pourtant, il s'agit de défendre les Cazalins.

Cazaux repéré !
Cazaux fait partie des territoires repérés par les services sociaux du Conseil Général de la Gironde dans lesquels apparaissent trois populations présentant de graves difficultés d'insertion :

  • Les personnes isolées, souvent bénéficiaires du RMI, dans lesquelles on trouve des jeunes qui démarrent dans la vie ou bien des retraités avec de très faibles revenus,
  • les familles monoparentales et les couples avec des enfants en bas âge à charge,
  • les jeunes hors dispositifs et les jeunes adultes en grandes difficultés.
Il est indispensable que Cazaux possède son dispositif social, complémentaire, pour permettre de cibler des objectifs clairs, précis et évaluables au sein d'un processus continu pour ce public qui est laissé pour compte.

Transport en commun : Peut mieux faire !
De toutes les agglomérations du Bassin, Cazaux est la plus isolée. Cette particularité devrait être prise en compte dans le plan de déplacements urbains élaboré par la COBAS. Le résultat est stupéfiant : un car le matin et un car le soir ! Cazalin, paye et tais toi ! Cazaux, devenu commune, aura 3 représentants à la COBAS et pourra y défendre ses intérêts pour le transport comme pour le reste ! Nous attendons toujours que le CADIC réagisse sur cette question. Toujours absent !

Une maison de retraite à Cazaux.
La durée de vie des Cazalins, comme de tous les résidents du Bassin, augmente. Que prévoit-on pour ces personnes souvent éloignées de leur famille et qui appréhendent le jour où elles devront quitter les lieux dans lesquels elles ont vécu. Il convient de mettre en route un projet de maison de retraite sur Cazaux avec des partenariats publics et privés comme on peut le trouver ailleurs. A ce jour, on ne peut que constater que cela ne fait pas partie des préoccupations du maire de La Teste et de Monsieur Montier, encore moins des membres du Cadic qui sont soit-disant inscrits dans une logique de comité de défense des intérêts des Cazalins alors que c'est un projet qui doit se préparer dans l'anticipation si l'on veut faire face au vieillissement de notre population Cazaline. Encore une fois, on envisagerait, comme pour nos jeunes collégiens, de les « expatrier » en dehors de Cazaux avec pour effet, dans de nombreux cas, une douleur psychologique qui s'ajouterait aux effets néfastes du grand âge. C'est inadmissible !


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LE JOURNAL DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE
AMBITIONS & TRADITIONS
SITE INTERNET DU GROUPE CAZAUX-COMMUNE :  ALIENOR.NET/BLANCHET

LE GRAND PROJET DE NOTRE MAIRE,
DE M. MONTIER ET DE MME CASTELLO

Un futur centre social « Fourre-tout » à Cazaux. Description et commentaires
On nous présente un plan de bâtiment où environ un quart du terrain disponible est recouvert d'espaces verts. C'est toujours ça de gagné sur la construction, mais quel gaspillage, quand on sait, qu'à Cazaux, il n'y a plus de terrains communaux au centre ville. Le bâtiment est en forme de U. Tout est donc prévu pour le construire par tranches successives réparties sur plusieurs années… On y trouve : 
1/ « des salles d'activités spécifiques mises en place avec la participation des usagers ». Autrement dit, on construit d'abord, au « pif », et on verra ensuite comment s'en servir, et avec qui…
2/ « des salles d'activités polyvalentes qui pourraient être utilisées par l'ensemble des publics concernés, favorisant ainsi le lieu pluri-générationnel » (remarquons au passage le conditionnel).
Et l'on retombe dans la polyvalence. On a déjà notre salle des fêtes, symbole de notre sous-développement culturel, où l'on fait du Théâtre, du Loto, du Chant, des Réunions publiques, de la Musique, des Repas de mariage… à chaque fois, il faut escamoter le piano sous la scène, ou le sortir ; déployer tables et chaises, puis les ranger. On est loin de l'atmosphère d'un lieu dédié à l'épanouissement d'activités artistiques. Dans ce domaine, polyvalence est synonyme de pis-aller et de sous-développement.
Quant au lieu pluri-générationnel, il n'y a que les rêveurs pour y croire. Peut-on faire cohabiter, dans un bâtiment aussi exigu, l'exubérance des jeunes et l'aspiration au calme des anciens. Voit-on souvent ces derniers « aller en boîte » ?
3/ « une Bibliothèque médiathèque » de 32 m². Que peut-on faire de sérieux dans un lieu aussi restreint ? N'oublions pas qu'il s'agit de satisfaire les besoins d'une ville de 5 000 habitants !
4/ « différents locaux pour accueillir des permanences (CAF, CMS, Mission Locale, PMI, etc) ainsi qu'un espace pour l'atelier « Coup de Pouce » qui pourrait être utilisé, en dehors des périodes scolaires, à d'autres fins. Ils permettront, en outre, d'accueillir le Club des Aînés et d'offrir, aux associations cazalines, un lieu polyvalent et ouvert pour se réunir ».
Et le fourre-tout continue. Trop d'activités différentes sont prévues au même endroit. Notons, au passage, que c'est dans cet espace pluri-culturel, pluri-générationnel, pluri-tout, qu'on trouve le bureau de l'assistante sociale. Les personnes ayant besoin d'aide apprécieront la discrétion du lieu…
On voit bien que tout ce qui est sensé manquer à Cazaux a été incorporé, en vrac, à ce projet qui n'a fait l'objet d'aucune étude préliminaire. Les besoins exacts n'ont pas été évalués. Aucune structure administrative n'a été définie. Les moyens en personnel d'encadrement ne sont pas prévus. On ne parle pas du matériel d'équipement, et pour finir, le financement du fonctionnement de ce centre est laissé aux bons soins de la providence…
Non, ce Centre ne convient pas à Cazaux qui peut prétendre à des équipements de même niveau que ceux que l'on peut voir dans les communes similaires alentour (par exemple Le Teich). Il est évident que l'on a voulu faire taire, une fois pour toutes, les doléances des Cazalins, dans le domaine socioculturel, en leur octroyant un
projet bâclé et au moindre coût.
Et comme d'habitude, si nous ne sommes pas satisfaits, on nous dira : « S'il vous manque quelque chose à Cazaux, venez à La Teste, nous avons tout ce qu'il faut »…
En effet, pour vivre à Cazaux, dans l'état actuel des choses, et dans tous les domaines, il est indispensable d'avoir une voiture particulière. Il faut absolument que cela change car ceux qui n'en ont pas en souffrent et il est certain que ceux qui en ont une, font des frais inutiles et un jour, n'en auront plus (à méditer).
Il est choquant de remarquer que la construction de ce Centre, décidée par le Maire de La Teste, arrive au beau milieu de la procédure de séparation de Cazaux d'avec La Teste, avec la bénédiction de l'adjoint spécial qui a été élu pour faire Cazaux-Commune !
Pour finir, envisageons ce qu'aurait pu faire un Conseil Municipal Cazalin. On peut penser, constatant la démographie galopante de Cazaux, qu'il aurait, depuis longtemps, demandé à la COBAS de financer un nouveau groupe scolaire. Une fois l'école LAFON libérée, en attendant mieux, il l'aurait aménagée pour accueillir nos activités socioculturelles.
Et tout cela aurait été décidé, après débat, par des élus représentant la population de Cazaux. Thierry BLANCHET n'a jamais été convié à aucune réunion de travail concernant ce projet. Cela s'appelle la démocratie « méthode ACOT ». La responsabilité de ce mauvais projet incombe à M. MONTIER et à Mme CASTELLO qui ont voté POUR.. Et le CADIC, qu'a-t-il fait dans cette affaire ? Il a assisté aux réunions préliminaires de présentation de ce projet bâclé et s'est contenté d'écouter et de ne rien dire. C'est sa façon à lui de défendre les intérêts des Cazalins! « Toujours calme et serein »! 
Imaginez, Cazalins, si les dirigeants actuels du CADIC étaient nos  futurs élus de Cazaux-Commune !... On a vraiment de quoi  s'inquiéter...


Groupe

Cazaux Commune

 

17, rue Guynemer

33260 CAZAUX

 

Tél : 06 08 25 40 92

Fax : 05 57 83 11 46

 

Cazaux, le 17 avril 2004.

 

 

 

 

à M. BLANCHET Jean-Marie

Président du CADIC

23 Avenue de Verdun

33260 CAZAUX

Lettre en RAR

Monsieur le Président,

Mesdames, Messieurs les membres du Conseil d’Administration,

Vous avez appelé, dans un tract préalable au Conseil Municipal du 8 avril 2004, les élus de Cazaux à voter contre le budget proposé par le Maire de La Teste. Tous les Cazalins ont été destinataires de ce message.

Durant la réunion de ce Conseil Municipal, consacré au vote du budget 2004, les deux Conseillers Cazalins, Claude Montier et Sylvie Castello, allant à l’encontre de ce que vous aviez demandé, ont accepté ce budget, l’une en votant pour, et plus en donnant sa procuration à la personne qui présentait ce budget au nom de la municipalité testerine, ce que l’on peut considérer comme une provocation ; l’autre, en s’abstenant une fois de plus (quel courage !), acceptant donc implicitement le vote majoritaire testerin. Monsieur Montier a même évoqué : « qu’une ligne pour Cazaux, dans le budget testerin, devait prendre le pas sur le projet Cazaux-Commune » ! Qu’en pensez-vous ?

Seul, une fois de plus, après avoir explicité mon opposition dans l’intérêt des Cazalins et du dossier Cazaux-Commune en cours, j’ai voté contre le budget proposé par le Maire de La Teste.

Au moment où de nombreux Cazalins se posent la question de cette opposition systématique et injustifiée vis-à-vis du seul élu de Cazaux (Thierry Blanchet) agissant en conformité avec le protocole d’accord que nous avons signé, je voudrais connaître vos intentions eu égard aux positions adoptées par Monsieur Claude Montier et Madame Sylvie Castello qui ont eu votre investiture pour défendre les Cazalins et préparer le dossier Cazaux-Commune aux élections municipales de 2001. J’espère que vous n’allez pas vous dérober, une fois de plus, en disant que vous ne faites pas de politique. En effet, il s’agit d’être cohérent par rapport à vos choix, notamment celui d’avoir choisi Claude Montier et Sylvie Castello, pour vous représenter au Conseil municipal et d’être cohérent par rapport à ce que vous demandez et écrivez : « votez contre le budget ».

Vous avez dit aux Cazalins, dans un vos tracts, que j’étais un égocentrique, un manipulateur, un prétentieux dont l’envergure et la compétence restaient à prouver. En dehors de ces propos calomnieux, qui ne visent que ma personne privée, je voudrais savoir ce que vous avez à me reprocher à travers mon action d’élu du Groupe Cazaux-Commune, dès lors que j’ai fait, une fois de plus, ce que vous aviez demandé dans l’ intérêt des Cazalins.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.

Copie aux habitants de Cazaux.

 

Thierry BLANCHET

Conseiller Municipal – Elu de Cazaux